L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
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par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
Catégories: Foi et vision cosmologique | 24/04/2012
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Catégories: Ecritures et Tradition rabbinique | 19/04/2012