« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour, c’est l’amour que Jésus nous a donné jusqu’à l’ultime accomplissement ; il est le fondement de la joie. Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour, c’est l’amour que Jésus nous a donné jusqu’à l’ultime accomplissement ; il est le fondement de la joie. Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour,
c’est l’amour que Jésus nous a donné
jusqu’à l’ultime accomplissement ;
il est le fondement de la joie.
Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour, c’est l’amour que Jésus nous a donné jusqu’à l’ultime accomplissement ; il est le fondement de la joie. Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour, c’est l’amour que Jésus nous a donné jusqu’à l’ultime accomplissement ; il est le fondement de la joie. Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour,
c’est l’amour que Jésus nous a donné
jusqu’à l’ultime accomplissement ;
il est le fondement de la joie.
Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
« Habitez mon amour» (Jn 15,9)
« L’amour est comme un espace où l’on entre et peut habiter ; comme une source dont on dépend, de même que le sarment tire sa force de la vigne où il est attaché.
Le fondement de notre amour,
c’est l’amour que Jésus nous a donné
jusqu’à l’ultime accomplissement ;
il est le fondement de la joie.
Ce que Jésus dit de la joie parfaite, qu’il nous dispense, les Pères de l’Église l’interprètent comme la promesse d’une joie inaltérable dont nul ne peut nous priver, objet du plus ardent désir de l’homme, indépendante des succès et des attachements parce qu’elle émane d’une expérience intérieure.
Cette joie, c’est la réponse à l’amour inconditionnel de Jésus ; elle dilate notre âme en éveillant son potentiel vital. (A.Grün)
Jésus appelle ses disciples « amis » ; il les aime sans réserve ni condition, ils ne sont plus des serviteurs ignorants de ce que fait le Maître, sans accès à son cœur, plongés dans l’obscurité « et de ce fait dans une angoisse permanente » (Bultmann, p. 418). Cet amour de Jésus culmine dans la mort sur la croix pour nous tous, qui sommes aussi ses amis: « II n’est pas d’amour plus grand que celui-ci : quitter la vie pour ceux qu’on aime » (15,13).
Par cette image de l’amitié, Jean illustre le mystère de la nouvelle relation que Jésus a établie entre Dieu et nous. Cette amitié est un pur don, elle ne réclame pas de contrepartie et n’éveille donc pas en nous de mauvaise conscience; par elle, l’amour coule en nous comme d’une source. Elle nous montre notre dignité: nous sommes devenus les proches de Jésus, ses égaux, nous recevons l’épanchement de son cœur, il nous a révélé tout ce qu’il avait appris de son Père, nous sommes initiés à tous les mystères de cet ami divin. » (A.Grün)
Catégories: Méditations | 13/05/2012
« Si tu vas au bout du monde, tu trouveras la trace de Dieu ;
si tu vas au fond de toi, tu trouveras Dieu-lui-même ».
M.Delbrel
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
que résonne Ta voix
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur
je veux aller vers Toi
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
laisse-moi Te rejoindre
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
accueille mon offrande
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
fais-moi me perdre en Toi
dans le fond de mon cœur.
D’après un hymne tamoul
« Devant Toi Seigneur » p : 16 – Ed Novalis/Cerf
« Si tu vas au bout du monde, tu trouveras la trace de Dieu ;
si tu vas au fond de toi, tu trouveras Dieu-lui-même ».
M.Delbrel
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
que résonne Ta voix
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur
je veux aller vers Toi
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
laisse-moi Te rejoindre
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
accueille mon offrande
dans le fond de mon cœur.
Ô Toi qui es chez toi dans le fond de mon cœur,
fais-moi me perdre en Toi
dans le fond de mon cœur.
D’après un hymne tamoul
« Devant Toi Seigneur » p : 16 – Ed Novalis/Cerf
Catégories: Lu ailleurs | 11/05/2012
« Vivre la liturgie, ce serait se retremper aux sources de l’humanité révélée par Jésus-Christ, accomplie par Jésus-Christ, renouvelée par Jésus-Christ, identifiée avec Jésus-Christ pour former avec Lui un univers absolument nouveau dans lequel circule la Vie Divine, afin que l’humanité et tout l’univers devienne vraiment la respiration de Dieu.
Si nous vivons la liturgie dans cette lumière, nous en ressortirions chargée de toute l’humanité, c’est-à-dire avec la volonté de prendre en charge toute l’humanité, nous sentant responsables de tous et de chacun et d’abord naturellement du premier que les circonstances mettent sur notre route, et d’abord de ceux qui nous sont proches immédiatement dans la famille, dans le travail, dans la maison, le voisinage, dans le quartier, tous ceux que nous croisons dans l’existence quotidienne et qui doivent rencontrer en nous, précisément, cette révélation de leur dimension humaine, ou plutôt de leur dimension divine telle que Jésus-Christ la révèle… »
M.Zundel – Ton Visage ma Lumière p :432-433 -Ed MamE
Catégories: Evénements de l'Eglise | 7/05/2012