Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Catégories: Lu ailleurs | 20/03/2012
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
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et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
Catégories: Lu ailleurs | 14/03/2012