“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
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“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
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“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
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“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
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” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
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A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” J, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
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A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
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“Je suis le bon pasteur.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon pasteur qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais pasteurs. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix” Jn, 10,16
” Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
“Je suis le bon berger.” (J, 10,11)
Dans le texte Grec, le mot employé exprime la beauté, rayonnement de la bonté et de la perfection. Le Seigneur est parfait parce qu’il est bon et qu’il donne sa vie pour ses brebis.
A cette qualité du bon berger qui est la bonté poussée jusqu’à l’entier sacrifice de lui-même, Jésus oppose le caractère des mauvais bergers. « En se donnant comme le bon pasteur, il fait entendre qu’il y en a de mauvais. » (S. Augustin),
“Je connais mes brebis et mes brebis me connaissent… elles écouteront ma voix…” Jn, 10,16
“Nous devons le suivre, mais comme on suit un Dieu, en le suivant et non en le précédant : car celui qui veut précéder Dieu vit d’après ses idées, et il ne vit pas selon les ordres de Dieu. Quand Pierre protestait contre les souffrances et les humiliations que Jésus-Christ. annonçait, il voulait le précéder et non le suivre, or Jésus l’appelait Satan. Plus tard, Jésus-Christ voulant donner une récompense à sa triple protestation d’amour, lui disait : Suis-moi.” (S. Augustin)
Catégories: Méditations | 29/04/2012
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’st ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’st ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’st ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’st ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’st ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Il y a une seule chose qui est nécessaire, qui est efficace, que nous seuls pouvons accomplir, c’est ce don silencieux de nous-mêmes, cet effacement qui laisse transparaître Dieu.
C’est ce silence où l’on écoute à la fois l’homme et Dieu, ce silence qui devient un espace, où l’on perçoit le mystère des autres, toutes leurs possibilités, toute leur grandeur virtuelle, tout ce qu’ils sont appelés à devenir et où l’on peut justement, sans rien dire, sans rien leur imposer, sans rien leur conseiller, où l’on peut secrètement laisser monter en eux la Présence qui les attend au plus intime d’eux-mêmes et dont ils ont à devenir comme nous-mêmes les vivants sacrements.
Rien ne demeure de l‘action humaine, rien ne demeure du vivant capable d’agir encore, rien ne demeure comme un présent qui fermente au plus intime de nous-mêmes, sinon justement ce rayonnement de l’amour par lequel l’homme s’éternise, par lequel il devient tout le ciel, par lequel il réalise en lui-même le Royaume de Dieu.
M.Zundel
Ta Parole comme une source p:351 – Ed A.Sigier
Catégories: Lu ailleurs | 28/04/2012
13-27 avril
LA FORMATION POUR LA COMMUNION
Seigneur, nous te louons, nous te glorifions, nous te remercions pour ces deux semaines vécues à Martillac, à la Solitude.
Nous sommes dans la maison du Bon Père, notre Vénérable Fondateur. Et nous y sommes toujours chez nous. En ce lieu nous retrouvons l’esprit des commencements. Dans cet espace contemplatif, l’île de Notre Dame de Toutes Grâces a une place unique. Près de la Vierge Marie, notre Bon Père, a écrit notre première Règle de vie. Sur le chemin de l’île, nous retrouvons celles qui nous ont précédées, nos premières Sœurs. Elles ont été les premières collaboratrices du Père Noailles. Premières formatrices, elles ont été des femmes de beaucoup de courage, de confiance, d’audace. Leur vie, aujourd’hui encore, porte fruit dans nos vies. Au cours de ces deux semaines, la Solitude – Maison de la Famille spirituelle du P.B Noailles – a été témoin de notre recherche et de notre discernement.
Seigneur nous affirmons que notre Charisme de communion est un don offert à toute l’humanité et à toute la Création.
Seigneur, nous affirmons que nos Vœux sont une expression de notre amour pour ton peuple .
Seigneur, nous affirmons que la formation est un processus de croissance, de conversion, de transformation.
Soyons toujours proches de notre Bon Père pour écouter ce qu’il nous dit, aujourd’hui, pour nous guider. Prions pour tous les jeunes avec qui nous faisons route et confions à Jésus, Marie et Joseph toutes les décisions prises au terme de notre session : « la Formation pour la communion » Sr Teresa Okroj
Catégories: Infos Solitude | 27/04/2012
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
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Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
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Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.
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Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
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L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
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Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
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L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses
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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
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Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
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Un défi pour les communautés religieuses
par Thomas Berry, CP
Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.
Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.
Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…
La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article
Catégories: Foi et vision cosmologique | 24/04/2012
Dans le ciel et par toute la terre nous entendons, Seigneur le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles, jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur et à nous tourner vers toi.
A.Gignac
Dans le ciel et par toute la terre nous entendons, Seigneur le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles, jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur et à nous tourner vers toi.
A.Gignac
Dans le ciel et par toute la terre nous entendons,
Seigneur
le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur
jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles,
jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître
jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur
et à nous tourner vers toi.
A.Gignac
Catégories: Lu ailleurs | 22/04/2012
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .
Ils sont repartis vers les Apôtres et leurs compagnons restés à Jérusalem signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).
Les deux pèlerins d’Emmaüs retrouvèrent « les onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu. Au moment où il rompit le pain.» (Lc 24,33-35)
« Tandis qu’ils parlaient, Jésus lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître. Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».
« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner »
(Théophylacte)
Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem, Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent comme un Maître. Il parle lui-même, à la 1ère personne car Il est la Parole vivante, « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)
Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les promesses prophétiques se sont accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans sa Pâque qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)
« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)
Les Apôtres et tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49). Et c’est à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)
Catégories: Méditations | 22/04/2012
Un extrait d’une interview avec Brian Swimme
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?
La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Un extrait d’une interview avec Brian Swimme
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?
La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Un extrait d’une interview avec Brian Swimme
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?
La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.
Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?
La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium. Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.
Catégories: Foi et vision cosmologique | 20/04/2012
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre (Gn 1,1)
Béréchit bara élohim ‘èt hachamayim vé’èt ha’arets
Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.
Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.
Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.
par Tali Loewenthal
Catégories: Ecritures et Tradition rabbinique | 19/04/2012
O semence enterrée dans le sol, viens !
Viens mourir à ta condition de semence.
Brise l’obscurité qui a bercé ta vie.
Perce la coquille dure de tout ce à quoi nous nous accrochons.
Invite-nous à écouter le son tranquille de la croissance. Ô viens !
O Vie cachée, maintenant dévoilée, viens !
Libère notre réticence à vivre pleinement et profondément.
Eveille-nous à la beauté qui nous maintient et nous embrasse.
Ouvre nos yeux à tout ce que nous pouvons devenir. Ô viens !
O Enfant de la Résurrection, viens !
Viens danser hors de la tristesse de l’hiver.
Anime-nous de ton espérance radieuse.
Attire-nous à travers les portes fermées de notre doute.
Célèbre avec nous les merveilles de la vie ressuscitée. O viens !
O Aube nouvelle, viens !
Viens comme l’astre du jour qui émerge à l’Est.
Appelle les fleurs qui dorment dans le jardin de nos vie ; Ô viens !
Catégories: Méditations | 16/04/2012
« Les Prophètes, représentent l’étonncmcnt des Anges voyant le Sauveur remonter au ciel avec des vêtements teints de sang et avec des plaies dans les mains. Ils se disent les uns aux autres: Quel est celui –là qui vient d’Edom, c’est-à-dire de la terre? Pourquoi vos vêtements sont-ils rouges comme ceux de l’homme qui foule les raisins dans le pressoir? Ils comparent le sang qui teint ses vêtements au vin nouveau. Et le Christ leur répond qu’il est celui qui enseigne la justice.
Les Anges lui demandent ce que sont ses plaies dans le milieu de ses mains? Et le Seigneur leur répond qu’il les a reçues dans la maison bien aimée. Il a voulu faire comprendre à ses Anges quel amour il avait pour ses créatures.” (St Cyrille)
« Il les garde afin de guérir la blessure de leur doute. »
(St Bède)
« Jésus a voulu garder en son corps, ces deux qualités qui paraissent inconciliables, d’être incorruptible et toutefois tangible, afin de nous montre qu’après sa résurrection, son corps, bien qu’ayant passé à un état nouveau, était toujours de même nature qu’auparavant. En le montrant incorruptible, il nous révèle la récompense à laquelle il nous invite : en nous le présentant tangible, il affermit notre foi. »
« Notre corps aussi, dans les gloires de la Résurrection jouira d’une sorte de spiritualité que lui communiquera l’effusion de l’Esprit-Saint, et conservant la vérité de se nature, il demeurera tangible.» (St Grégoire)
« Jésus.-Christ aurait pu aussi, faire disparaître de son corps ressuscité toutes les blessures qu’on lui avait infligées : il osa les gardées pour les montrer à ses amis et affermir leur foi. » (S. Augustin)
« Les Prophètes, représentent l’étonncmcnt des Anges voyant le Sauveur remonter au ciel avec des vêtements teints de sang et avec des plaies dans les mains. Ils se disent les uns aux autres: Quel est celui –là qui vient d’Edom, c’est-à-dire de la terre? Pourquoi vos vêtements sont-ils rouges comme ceux de l’homme qui foule les raisins dans le pressoir? Ils comparent le sang qui teint ses vêtements au vin nouveau. Et le Christ leur répond qu’il est celui qui enseigne la justice.
Les Anges lui demandent ce que sont ses plaies dans le milieu de ses mains? Et le Seigneur leur répond qu’il les a reçues dans la maison bien aimée. Il a voulu faire comprendre à ses Anges quel amour il avait pour ses créatures.” (St Cyrille)
« Il les garde afin de guérir la blessure de leur doute. »
(St Bède)
« Jésus a voulu garder en son corps, ces deux qualités qui paraissent inconciliables, d’être incorruptible et toutefois tangible, afin de nous montre qu’après sa résurrection, son corps, bien qu’ayant passé à un état nouveau, était toujours de même nature qu’auparavant. En le montrant incorruptible, il nous révèle la récompense à laquelle il nous invite : en nous le présentant tangible, il affermit notre foi. »
« Notre corps aussi, dans les gloires de la Résurrection jouira d’une sorte de spiritualité que lui communiquera l’effusion de l’Esprit-Saint, et conservant la vérité de se nature, il demeurera tangible.» (St Grégoire)
« Jésus.-Christ aurait pu aussi, faire disparaître de son corps ressuscité toutes les blessures qu’on lui avait infligées : il osa les gardées pour les montrer à ses amis et affermir leur foi. » (S. Augustin)
« Les Prophètes, représentent l’étonncmcnt des Anges voyant le Sauveur remonter au ciel avec des vêtements teints de sang et avec des plaies dans les mains. Ils se disent les uns aux autres: Quel est celui –là qui vient d’Edom, c’est-à-dire de la terre? Pourquoi vos vêtements sont-ils rouges comme ceux de l’homme qui foule les raisins dans le pressoir? Ils comparent le sang qui teint ses vêtements au vin nouveau. Et le Christ leur répond qu’il est celui qui enseigne la justice.
Les Anges lui demandent ce que sont ses plaies dans le milieu de ses mains? Et le Seigneur leur répond qu’il les a reçues dans la maison bien aimée. Il a voulu faire comprendre à ses Anges quel amour il avait pour ses créatures.” (St Cyrille)
« Jésus a voulu garder en son corps, ces deux qualités qui paraissent inconciliables, d’être incorruptible et toutefois tangible, afin de nous montre qu’après sa résurrection, son corps, bien qu’ayant passé à un état nouveau, était toujours de même nature qu’auparavant. En le montrant incorruptible, il nous révèle la récompense à laquelle il nous invite : en nous le présentant tangible, il affermit notre foi. »
« Notre corps aussi, dans les gloires de la Résurrection jouira d’une sorte de spiritualité que lui communiquera l’effusion de l’Esprit-Saint, et conservant la vérité de se nature, il demeurera tangible.» (St Grégoire)
« Jésus.-Christ aurait pu aussi, faire disparaître de son corps ressuscité toutes les blessures qu’on lui avait infligées : il osa les gardées pour les montrer à ses amis et affermir leur foi. » (S. Augustin)
« Il les garde afin de guérir la blessure de leur doute. »
(St Bède)
Catégories: Méditations | 15/04/2012