Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” (St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le monde est appelé. Tout le monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Catégories: Méditations | 18/03/2012
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
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P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
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Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
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Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
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P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
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Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
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et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
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Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
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Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin,
elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
Catégories: Lu ailleurs | 14/03/2012
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de le regarder, de l’écouter, de le suivre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de Carême ouvre grandement nos coeurs
à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de le regarder, de l’écouter, de le suivre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de Carême ouvre grandement nos coeurs
à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de le regarder, de l’écouter, de le suivre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette période.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de Carême ouvre grandement nos coeurs
à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
nous avons besoin de la regarder, de l’écouter, de le suvre pas à pas.
C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon parce que Lui nous pardonne toujours.
Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
qui, pendant 40 jours, a promis de nous conduire vers sa Pâque.
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
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Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
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C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
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Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
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avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette période.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
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“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
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avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette période.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
Oui, il faut que nous revenions au Christ.
C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
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C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Que ce temps de carême ouvre grandement nos coeurs à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
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avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
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à la grâce que l’Esprit veut nous donner.
Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette période.
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Oui il faut revenir à Lui.
“C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
c’est Lui encore qui nous demande de partager
avec nos frères et soeurs qui sont dans le besoin
comme Il nous invite à la réconciliation, au pardon
parce que Lui nous pardonne toujours.
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
une étape vitales pour toutes les communautés chrétiennes.
C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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Mais pour rencontrer Jésus et ensuite demeurer à ses côtés,
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C’est pourquoi la prière est importante durant cette péruiode.
“Revenez à moi de tout votre coeur” nous dit le Seigneur.
Oui il faut revenir à Lui.
C’est maintenant le moment favorable” nous dit la liturgie.
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C’est Lui qui peut changer notre coeur de pierre en coeur de chair;
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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Le Carême est une étape vitale pour l’Eglise,
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C’est le temps d’une longue marche avec Jésus,
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Que ce temps de Carême ouvre grandement nos coeurs
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Catégories: Méditations | 26/02/2012