Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Mgr Hermann Giguère P.H
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête… bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Catégories: Méditations | 22/02/2012
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
Et où faut-il aller?
Il faut aller à ce Dieu
que nous devons aimer
de tout notre coeur…
Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
Catégories: Méditations | 20/02/2012
Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin
Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin
Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin
Catégories: Foi et vision cosmologique, Lu ailleurs | 20/02/2012
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés ” Non!
Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence.
Est-il possible de crier pour lui: “Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant?
Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
Catégories: Méditations | 18/02/2012
La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. yod, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, yod symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Origine
Le tracé de cette lettre (araméen) représente un bras tendu avec la main ouverte tournée vers le haut et aussi un bouquet de papyrus stylisé
Signification
Yod vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu david hamelekh.
Forme de la lettre
C’est la plus petite lettre de l’aleph-beth. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Yod représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
Le nombre 10 est celui de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins. 10 est le symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création, son unité assemblante ne peut être réalisé qu’à travers l’extension des 4 mondes (atsilouth, beriah, yetsirah, assiah) et des 4 éléments : 1 + 2 + 3 + 4 = 10.
http://www.kabbal-art.com
La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. yod, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, yod symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Origine
Le tracé de cette lettre (araméen) représente un bras tendu avec la main ouverte tournée vers le haut et aussi un bouquet de papyrus stylisé
Signification
Yod vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu david hamelekh.
Forme de la lettre
C’est la plus petite lettre de l’aleph-beth. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Yod représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
Le nombre 10 est celui de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins. 10 est le symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création, son unité assemblante ne peut être réalisé qu’à travers l’extension des 4 mondes (atsilouth, beriah, yetsirah, assiah) et des 4 éléments : 1 + 2 + 3 + 4 = 10.
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La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. yod, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, yod symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Origine
Le tracé de cette lettre (araméen) représente un bras tendu avec la main ouverte tournée vers le haut et aussi un bouquet de papyrus stylisé
Signification
Yod vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu david hamelekh.
Forme de la lettre
C’est la plus petite lettre de l’aleph-beth. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Yod représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
Le nombre 10 est celui de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins. 10 est le symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création, son unité assemblante ne peut être réalisé qu’à travers l’extension des 4 mondes (atsilouth, beriah, yetsirah, assiah) et des 4 éléments : 1 + 2 + 3 + 4 = 10.
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La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. yod, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, yod symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Origine
Le tracé de cette lettre (araméen) représente un bras tendu avec la main ouverte tournée vers le haut et aussi un bouquet de papyrus stylisé
Signification
Yod vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu david hamelekh.
Forme de la lettre
C’est la plus petite lettre de l’aleph-beth. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Yod représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
Le nombre 10 est celui de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins. 10 est le symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création, son unité assemblante ne peut être réalisé qu’à travers l’extension des 4 mondes (atsilouth, beriah, yetsirah, assiah) et des 4 éléments : 1 + 2 + 3 + 4 = 10.
http://www.kabbal-art.com
La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. yod, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, yod symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Origine
Le tracé de cette lettre (araméen) représente un bras tendu avec la main ouverte tournée vers le haut et aussi un bouquet de papyrus stylisé
Signification
Yod vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu david hamelekh.
Forme de la lettre
C’est la plus petite lettre de l’aleph-beth. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Yod représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
Le nombre 10 est celui de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins. 10 est le symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création, son unité assemblante ne peut être réalisé qu’à travers l’extension des 4 mondes (atsilouth, beriah, yetsirah, assiah) et des 4 éléments : 1 + 2 + 3 + 4 = 10.
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La main, création de l’univers, spiritualité, monde futur
La lettre YOUD de l’alphabet hébreu vient de yad, la main. C’est la main avec le poignet et les doigt étendus. Cette lettre symbolise, par sa valeur la création du monde par dix paroles. Youd, à peine plus grande qu’un point, est la plus petite de lettres de l’alphabet et pourtant c’est elle qui contient le plus de puissance. Enfin, youd symbolise la capacité d’agir, l’expression individuelle, l’intéraction dans le monde, le monde des sens, la matière principale, la création.
Youd vient de la racine yadad ou yadah qui est le verbe jeter ou lancer, rôle que l’on confie à la main. Cette racine contient aussi l’amour que l’on porte à l’autre, c’est pourquoi elle introduit aussi yadid (le bien-aimé), d’où est issu David hamelekh.
C’est la plus petite lettre de l’alphabet hébreu. Yod se compose de trois parties : une pointe vers le haut, une pointe vers le bas et une partie moyenne les unissant. Youd représente une personne en prière, humblement inclinée (pointe en bas), son coeur dirigé vers le Ciel.(zohar, section vayikra 147)
La valeur numérique de la lettre Youd est 10, nombre de la réalisation de l’unité, de la totalité de l’univers et des attributs Divins; symbole de la complète croissance des fondements actifs de la création.
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Catégories: Ecritures et Tradition rabbinique, Lu ailleurs | 13/02/2012
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“Je le veux”
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“Je le veux”
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
La compassion de Jésus n’est pas à fleur de peau, c’est un bouleversement de la profondeur de son être. Il n’y a pas de vraie compassion sans passion: celui qui compatit vraiment pâtit lui-même. La compassion est une communion dans la souffrance… La souffrance de Jésus est la souffrance du Père…”
François Varillon – La Parole est mon Royaume – Ed Centurion 1986 p:69-70
“Je le veux”
“La foi pure, vécue dans l’amour, maintenue par la persévérance, patiente dans l’attente, humble dans son affirmation, ferme dans sa confiance, pleine de respect dans sa prière et de sagesse dans ce qu’elle demande, est certaine d’entendre en toute circonstance cette parole du Seigneur: ” Je le veux. ”
En ayant présente à l’esprit cette réponse admirable de Jésus au lépreux, nous devons regrouper les mots selon leur sens.
Aussi bien le lépreux a-t-il dit pour commencer: “Seigneur, si tu le veux” et le Seigneur : “Je le veux.”
Le lépreux ayant ajouté : ” Tu peux me purifier ” le Seigneur ordonna avec la puissance de sa parole: ” Sois purifié. ”
Vraiment, tout ce que le pécheur a proclamé dans une humble confession de foi, la bonté et la puissance divines l’ont aussitôt accompli par grâce.”
Paschase RADBERT – Les Pères commentent l’Evangile, Mystéria 3, Paris, Brepols, 1991, p 242-243
Catégories: Méditations | 12/02/2012
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90
Catégories: Foi et vision cosmologique, Lu ailleurs | 9/02/2012
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser aux sources de notre appartenance à la Famille spirituelle du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles.
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui avait été une collaboratrice si proche de notre bien-aimé Bon Père… Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile!
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.” (Testament spirituel de P.B Noailles)
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
« Dans quelques jours tout ce que nous voyons, tout ce que nous entendons aura disparu ! Ah ! ne cherchons que Dieu seul ! C’est Lui qui nous aime toujours et rien ne saurait nous l’enlever. » (P.B Noailles à la Mère Bonnat)
« Ne soupirons plus que pour le ciel [..] Que nos derniers jours soient entièrement à Dieu, et que mourant ici-bas, à tout ce qui passe, nous ne vivions plus que pour Dieu seul » (P.B Noailles à la Mère)
8 février 2011-8 Février 2012… une année pour rendre grâce, une année pour puiser souffle et énergie aux sources du Charisme du Serviteur de Dieu qu’a été notre Vénérable Fondateur Pierre Bienvenu Noailles (1793-1861).
Au terme du 150ième anniversaire de sa mort, faisons nôtres les paroles de la poésie écrite par Mère Bonnat, elle qui a été une collaboratrice si proche et si fidèle de notre bien-aimé Bon Père…
Il vit toujours
Il vit toujours, l’ami de mon enfance,
Il suit mes pas, souvent me tend la main,
Aux jours mauvais, il est mon espérance,
Et du bonheur m’indique le chemin.
Il vit toujours ce guide tutélaire
Qui m’animait en me montrant le ciel,
Comme autrefois, sur une coupe amère,
Il jette encore quelques goutes de miel
Il vit toujours pour mon âme rêveuse,
Celui qui fut mon aide et mon secours,
J’entends encore ces mots : Soyez heureuses,
Pour vous, le ciel réserve de beaux jours.
Il vit toujours pour aimer et comprendre
La faible enfant qui cherchait appui,
Et quand la nuit, un chant se fait entendre,
Il vient du ciel, je regarde. Est-ce lui ?..
Oui, il vit toujours au coeur de chacun des membres de sa Famille spirituelle! Il est notre Père dans la foi, notre Guide sur le chemin de l’Evangile! Ecoutons aujourd’hui encore son testament spirituel:
“Je vais vous quitter, ne vous affligez pas de mon départ. Soyez étroitement unies dans la charité de Jésus Christ. N’ayez qu’un cœur et qu’une âme, qu’une volonté pour faire aimer Notre Seigneur et lui gagner tous les cœurs et ce bon Maître demeurera au milieu de vous, et la Sainte-Famille, fidèle à sa mission, continuera à faire le bien sur la terre”.
“Vous continuerez mes œuvres, vous y maintiendrez l’esprit que votre bon père a cherché à leur inspirer : esprit de dévouement, de charité, d’abnégation, esprit de Dieu seul, esprit de famille.”
Dieu nous attend, là où sont nos racines.
St Cyrille
Catégories: Infos Solitude | 8/02/2012
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à ‘amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
La création, c’est justement un geste maternel. Elle jaillit du fond de la tendresse divine comme un appel qui s’adresse à la nôtre, et quand nous ne répondons pas, le monde, le vrai monde, le monde d’harmonie, le monde de beauté, le monde de la joie, ne peut pas exister!
La création jaillit du fond de la tendresse divine!
Un physicien indou a remarqué – et il a prouvé – par des études extrêmement précises, que les choses elles-mêmes ont un rythme. Un cable ne résiste pas à une traction brutale, et le fer se rompt si l’on ne respecte pas d’une certaine façon, sa mélodie et son rythme.
Il y a dans la nature, dans tout l’univers, un certain rythme qui demande à être respecté, un certain ordre qui demande à être compris, un certain appel qui est toujours proposé à notre amour!
Et la création ne peut jamais être en équilibre si nous ne sommes pas nous-mêmes en relation vivante avec Dieu.
Et que cela ne soit pas simplement des vues de poète ou de savant, nous en avons la preuve lorsque nous entendons cet admirable texte de St Paul aux Romains (Rm 8,19-22) qui nous parle de la création dans les douleurs de l’enfantement. Elle pousse un grand cri de gémissement en attendant la révélation de la Gloire des Fils de Dieu. L’univers est blessé d’une certaine manière comme Dieu est victime parce qu’une volonté mauvaise, une volonté avaricieuse, une volonté possessive s’est opposée à l’amour de Dieu.
M.Zundel – Ta Parole comme une source – Ed A.Sigier p:251
Catégories: Foi et vision cosmologique, Lu ailleurs | 7/02/2012
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
“e, fièvre Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
Jésus accompagné de Jacques et de Jean, alla chez Simon et André. Or la belle-mère de Simon était couchée, ayant la fièvre… (Mc 1,30)
“Cette femme avec ses fièvres représente notre chair avec ses passions… C’est une fièvre que notre avarice, fièvre que notre ambition, fièvre notre luxure, fièvre notre colère. Bien que ces vices viennent du corps, ils font pénétrer le feu jusque dans les os, et ils troublent les sens, l’âme et l’esprit…”
Et aussitôt on parla d’elle à Jésus (Mc 1,30)
“Oh si Pierre et André voulaient prier pour moi, ils obtiendraient ce qu’ils sont obtenu pour leur parente… Et vous pouvez, si vous le voulez, contracter des liens de parenté avec eux, avec les Apôtres, avec les martyrs si dans leur compagnie vous vous livrez à des oeuvres de miséricorde; car la miséricorde crée une parenté: ce ne sont pas liens du sang mais ceux de la vertu qui créent la vraie parenté. Aimez donc à devenir les parents de Pierre et André, afin qu’ils prient pour vous.” (St Ambroise)
S’étant approché, il la fit se lever en lui prenant la main et à l’instant la fièvre la quitta… (Mc1,31)
“Quelque fois, il guérit par une parole, d’autres fois par le contact de la main, d’autres fois en unissant les deux, rendant toujours la guérison palpable.” ( (St Jean Chrysostôme)
“Il la touche afin de montrer la puissance que possédait cette chair unie au Verbe. C’était le Verbe qui se communiquait par elle. Souvenons-nous que nous pouvons nous mettre en contact avec le Verbe par le contact de la chair du Christ.”
“Qu’il nous touche donc, et que nous, nous sachions le toucher dans ses saints Mystères afin que nous recevions de lui la guérison de nos maladies et qu’il nous garde de toute attaque du démon.” (St Cyrille)
Puis elle les servit. (Mc 1, 31)
“Quand le Christ est venu en nous, que nous l’avons mis en notre esprit et en notre coeur, que nous avons reçu sincèrement ses commandements, il se fait en nous un tel apaisement, une telle vigueur que nous pouvons le servir aussitôt.”
“Celui qui est guéri par le Christ ne connaît plus aucun empêchement. Là où vient la prière vient aussi le Verbe, la convoitise est mise en fuite, la passion disparaît.” (St Ambroise)
Catégories: Méditations | 5/02/2012