20100715
Tu es le seul Dieu.
Tu es le seul Saint.
Tu es le seul Seigneur.
Tu es la Lumière.
Tu es la Vérité.
Tu es l’Amour.
Tu es notre Espérance.
Tu es notre Foi.
Archives July 2010
Tu es le seul Dieu.
Tu es le seul Saint.
Tu es le seul Seigneur.
Tu es la Lumière.
Tu es la Vérité.
Tu es l’Amour.
Tu es notre Espérance.
Tu es notre Foi.
Bénissons le Père, le Fils et l’Esprit saint : A lui, haute gloire, louange éternelle !
Béni sois-tu, Seigneur, au firmament du ciel : A toi, haute gloire, louange éternelle! (cf Cantique de Daniel 3)
Toutes les oeuvres du Seigneur, bénissez le Seigneur :
A lui, haute gloire, louange éternelle !
Et vous, montagnes et collines, bénissez le Seigneur, et vous, les plantes de la terre, bénissez le Seigneur, et vous, sources et fontaines, bénissez le Seigneur !
Que la terre bénisse le Seigneur :
A lui, haute gloire, louange éternelle ! (Cf cantique de Daniel 3)
Le raisin est porteur de mémoire, de symbolique et de tradition. Noé fut le premier homme à planter de la vigne (Gn 9, 20).
Le peuple d’Israël est comparé à la vigne: “Israël était une vigne luxuriante donnant beaucoup de fruits, mais plus ses fruits se multipliaient, plus Israël multiplia les autels. Plus il devenait riche, il a fait les stèles car leur cœur est double” (Os. 10, 1-2).
Isaïe reprendra le thème de la vigne mais d’une façon moins développée qu’Osée: “Ce jour-là la vigne délicieuse, chantez-la. Moi le Seigneur, j’en suis le gardien, à tout instant je l’arrose de peur que ne tombe son feuillage. Nuit et jour je la garde, épines et ronces, je les brûlerai toutes” (Is. 27, 2-4).
Quand Moïse envoya douze homme, un par tribu, ““, ceux-ci revinrent de cette mission d’espionnage avec “des grenades et des figues“, et “une grappe de raisins” si grande qu’il fallait deux hommes pour la porter sur une perche.
La grappe de raisin caractérise le travail de la terre ; elle est le signe de la fertilité. Elle symbolise le vin de la vie et de l’immortalité.
Saint Augustin voit dans les deux hommes qui portent la grappe le symbole des deux Testaments, celui du peuple juif et celui du peuple chrétien: le juif marchait devant, suivi du chrétien qui avait ainsi sous les yeux la grappe, le fruit de son salut, c’est-à-dire le Christ.
Le raisin est porteur de mémoire, de symbolique et de tradition. Noé fut le premier homme à planter de la vigne (Gn 9, 20).
Le peuple d’Israël est comparé à la vigne: “Israël était une vigne luxuriante donnant beaucoup de fruits, mais plus ses fruits se multipliaient, plus Israël multiplia les autels. Plus il devenait riche, il a fait les stèles car leur cœur est double” (Os. 10, 1-2).
Isaïe reprendra le thème de la vigne mais d’une façon moins développée qu’Osée: “Ce jour-là la vigne délicieuse, chantez-la. Moi le Seigneur, j’en suis le gardien, à tout instant je l’arrose de peur que ne tombe son feuillage. Nuit et jour je la garde, épines et ronces, je les brûlerai toutes” (Is. 27, 2-4).
Quand Moïse envoya douze homme, un par tribu, ““, ceux-ci revinrent de cette mission d’espionnage avec “des grenades et des figues“, et “une grappe de raisins” si grande qu’il fallait deux hommes pour la porter sur une perche.
La grappe de raisin caractérise le travail de la terre ; elle est le signe de la fertilité. Elle symbolise le vin de la vie et de l’immortalité.
Saint Augustin voit dans les deux hommes qui portent la grappe le symbole des deux Testaments, celui du peuple juif et celui du peuple chrétien: le juif marchait devant, suivi du chrétien qui avait ainsi sous les yeux la grappe, le fruit de son salut, c’est-à-dire le Christ.
Le raisin est porteur de mémoire, de symbolique et de tradition. Noé fut le premier homme à planter de la vigne (Gn 9, 20).
Le peuple d’Israël est comparé à la vigne: “Israël était une vigne luxuriante donnant beaucoup de fruits, mais plus ses fruits se multipliaient, plus Israël multiplia les autels. Plus il devenait riche, il a fait les stèles car leur cœur est double” (Os. 10, 1-2).
Isaïe reprendra le thème de la vigne mais d’une façon moins développée qu’Osée: “Ce jour-là la vigne délicieuse, chantez-la. Moi le Seigneur, j’en suis le gardien, à tout instant je l’arrose de peur que ne tombe son feuillage. Nuit et jour je la garde, épines et ronces, je les brûlerai toutes” (Is. 27, 2-4).
Quand Moïse envoya douze homme, un par tribu, ceux-ci revinrent de cette mission d’espionnage avec “des grenades et des figues“, et “une grappe de raisins” si grande qu’il fallait deux hommes pour la porter sur une perche.
La grappe de raisin caractérise le travail de la terre ; elle est le signe de la fertilité. Elle symbolise le vin de la vie et de l’immortalité.
Saint Augustin voit dans les deux hommes qui portent la grappe le symbole des deux Testaments, celui du peuple juif et celui du peuple chrétien: le juif marchait devant, suivi du chrétien qui avait ainsi sous les yeux la grappe, le fruit de son salut, c’est-à-dire le Christ.
Notre Père, accorde à notre coeur
de comprendre et de discerner, d’étudier et d’enseigner, de garder, de pratiquer et d’accomplir
avec amour ta Torah! (Birkat haTorah)
Notre Père, accorde à notre coeur
de comprendre et de discerner, d’étudier et d’enseigner, de garder, de pratiquer et d’accomplir
avec amour ta Torah! (Birkat haTorah)
Notre Père,
accorde à notre coeur
de comprendre et de discerner, d’étudier et d’enseigner, de garder, de pratiquer et d’accomplir
avec amour ta Torah! (Birkat haTorah)
“Le nom de prochain est un nom de relation dit St Augustin et nous ne pouvons être proche que de quelqu’un qui est proche de nous.” “Et ce qui nous rapproche le plus, ce n’est pas la parenté, mais la miséricorde.” (St Ambroise).
C’est la voie que Jésus-Christ a suivie pour nous rapprocher de lui. Une immense compassion l’a amené vers nous et l’a porté à prendre soin de nous. Nous sommes devenus ses proches.
“Les deux deniers sont les deux Testaments qui portent en eux l’empreinte du Roi éternel dont la vertu guérit nos blessures… ” (St Augustin). “Heureux cet hôtelier à qui est confié ce ministère de dévouement…. On ne devient proche de qui que ce soit qu’en pratiquant envers lui la miséricorde du Christ.” (St Ambroise)
Amen.
La louange, la gloire, la sagesse,
l’action de grâces, la reconnaissance,
l’honneur, la puissance et la force
à notre Dieu pour tous les siècles !
Amen.” (Apocalypse 7,12)
Amen.
La louange, la gloire, la sagesse,
l’action de grâces, la reconnaissance,
l’honneur, la puissance et la force
à notre Dieu pour tous les siècles !
Amen.” (Apocalypse 7,12)
Amen.
La louange, la gloire, la sagesse,
l’action de grâces, la reconnaissance,
l’honneur, la puissance et la force
à notre Dieu pour tous les siècles !
Amen. (Apocalypse 7,12)
Seigneur, donne nous d’accueillir ceux que nous rencontrons
pour leur donner un peu d’ombre quand le soleil brille trop,
pour leur ouvrir notre porte quand la pluie et les orages les surprennent,
pour leur partager notre pain et notre amitié quand ils se trouvent seuls et désemparés. (Diocèse de Lille)
Les trois portes de la sagesse
(Texte de Charles Brulhart)
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent. Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l’envoya auprès d’un Vieux Sage.
– “Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie“, demanda le Prince.
– “Mes paroles s’évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications. Sur ta route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes indiqués sur chacune d’entre elles. Un besoin irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche pas à t’en détourner, car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis t’en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi.”
Le Vieux Sage disparut et le Prince s’engagea sur le Chemin de la Vie. Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire “CHANGE LE MONDE“.
– “C’était bien là mon intention, pensa le Prince, car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d’autres ne me conviennent pas.” Et il entama son premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir. Il y trouva le plaisir et l’ivresse du conquérant, mais pas l’apaisement du coeur. Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d’autres lui résistèrent. Bien des années passèrent.
Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
– “Qu’as-tu appris sur le chemin ? ”
– “J’ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et ce qui m’échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n’en dépend pas”.
“C’est bien, dit le Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à ton emprise.” Et il disparut.
Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte. On pouvait y lire “CHANGE LES AUTRES“.
– “C’était bien là mon intention, pensa-t-il. Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur, d’amertume et de frustration.” Et il s’insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables. Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts. Ce fut là son deuxième combat. Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu’il méditait sur l’utilité de ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
– “Qu’as-tu appris sur le chemin ?”
– “J’ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause ou la source de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions et de mes déboires. Ils n’en sont que le révélateur ou l’occasion. C’est en moi que prennent racine toutes ces choses.”
– ” Tu as raison, dit le Sage. Parce qu’ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même. Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration, car à travers eux la Vie t’enseigne ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu dois encore parcourir.” Et le Vieil Homme disparut.
Peu après, le Prince arriva devant une porte où figuraient ces mots “CHANGE-TOI TOI-MÊME“.
– “Si je suis moi-même la cause de mes problèmes, c’est bien ce qui me reste à faire,” se dit-il.
Et il entama son 3ème combat. Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections, à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout ce qui ne correspondait pas à son idéal. Après bien des années de ce combat où il connut quelques succès mais aussi des échecs et des résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :
– “Qu’as-tu appris sur le chemin ?”
– “J’ai appris, répondit le Prince, qu’il y a en nous des choses qu’on peut améliorer, d’autres qui nous résistent et qu’on n’arrive pas à briser.”
– “C’est bien,” dit le Sage.
– “Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ? Quand trouverai-je le repos ? J’ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise.”
– “C’est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant d’aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru.” Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ème porte et s’aperçut qu’elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait “ACCEPTE-TOI TOI-MEME.”
Seigneur, que ce temps de vacances soit pour tous un moment de détente, de repos, de paix.
Donne à chacun la joie simple et vraie de se retrouver en famille et entre amis.