20120131
A tous ceux que nous côtoyons
chaque jour
puissions-nous offrir,
par notre bienveillance
par notre silence,
par notre respect
et par notre charité,
le Sourire de la Bonté de Dieu!
Archives January 2012
A tous ceux que nous côtoyons
chaque jour
puissions-nous offrir,
par notre bienveillance
par notre silence,
par notre respect
et par notre charité,
le Sourire de la Bonté de Dieu!
« L’adoration est au cœur de l’Eglise, elle est au cœur de notre vie » disait le Pape Jean Paul II s’adressant à des contemplatifs : « L’adoration est un devoir inéluctable de l’Eglise. Vous- mêmes, en adorant Jésus, vous accomplissez dans les Eglises locales la tâche de « prier sans cesse » que nous ont transmis les apôtres, à l’imitation du Maître qui passait fréquemment la nuit en prière… L’Eglise a besoin de femmes et d’hommes convaincus comme vous de la valeur irremplaçable de la prière ».
Pour creuser davantage la place de l’adoration dans notre vie, revenons à la bénédiction miraculeuse de 1822, car, à ce moment de notre histoire de la Sainte Famille, le Seigneur ne nous lance-t-Il pas un appel précis ? Appel à une vie Eucharistique, à une vie d’action de grâce et d’adoration, à une vie de louange au cœur de l’Eglise?… Lire la suite
« L’adoration est au cœur de l’Eglise, elle est au cœur de notre vie » disait le Pape Jean Paul II s’adressant à des contemplatifs : « L’adoration est un devoir inéluctable de l’Eglise. Vous- mêmes, en adorant Jésus, vous accomplissez dans les Eglises locales la tâche de « prier sans cesse » que nous ont transmis les apôtres, à l’imitation du Maître qui passait fréquemment la nuit en prière… L’Eglise a besoin de femmes et d’hommes convaincus comme vous de la valeur irremplaçable de la prière ».
Pour creuser davantage la place de l’adoration dans notre vie, revenons à la bénédiction miraculeuse de 1822, car, à ce moment de notre histoire de la Sainte Famille, le Seigneur ne nous lance-t-Il pas un appel précis ? Appel à une vie Eucharistique, à une vie d’action de grâce et d’adoration, à une vie de louange au cœur de l’Eglise?… Lire la suite
« L’adoration est au cœur de l’Eglise, elle est au cœur de notre vie » disait le Pape Jean Paul II s’adressant à des contemplatifs : « L’adoration est un devoir inéluctable de l’Eglise. Vous- mêmes, en adorant Jésus, vous accomplissez dans les Eglises locales la tâche de « prier sans cesse » que nous ont transmis les apôtres, à l’imitation du Maître qui passait fréquemment la nuit en prière… L’Eglise a besoin de femmes et d’hommes convaincus comme vous de la valeur irremplaçable de la prière ».
Pour creuser davantage la place de l’adoration dans notre vie, revenons à la bénédiction miraculeuse de 1822, car, à ce moment de notre histoire de la Sainte Famille, le Seigneur ne nous lance-t-Il pas un appel précis ? Appel à une vie Eucharistique, à une vie d’action de grâce et d’adoration, à une vie de louange au cœur de l’Eglise?… Lire la suite
« L’adoration est au cœur de l’Eglise, elle est au cœur de notre vie » disait le Pape Jean Paul II s’adressant à des contemplatifs : « L’adoration est un devoir inéluctable de l’Eglise. Vous- mêmes, en adorant Jésus, vous accomplissez dans les Eglises locales la tâche de « prier sans cesse » que nous ont transmis les apôtres, à l’imitation du Maître qui passait fréquemment la nuit en prière… L’Eglise a besoin de femmes et d’hommes convaincus comme vous de la valeur irremplaçable de la prière ».
Pour creuser davantage la place de l’adoration dans notre vie, revenons à la bénédiction miraculeuse de 1822, car, à ce moment de notre histoire de la Sainte Famille, le Seigneur ne nous lance-t-Il pas un appel précis ? Appel à une vie Eucharistique, à une vie d’action de grâce et d’adoration, à une vie de louange au cœur de l’Eglise?… Lire la suite
« L’adoration est au cœur de l’Eglise, elle est au cœur de notre vie » disait le Pape Jean Paul II s’adressant à des contemplatifs : « L’adoration est un devoir inéluctable de l’Eglise. Vous- mêmes, en adorant Jésus, vous accomplissez dans les Eglises locales la tâche de « prier sans cesse » que nous ont transmis les apôtres, à l’imitation du Maître qui passait fréquemment la nuit en prière… L’Eglise a besoin de femmes et d’hommes convaincus comme vous de la valeur irremplaçable de la prière ».
Pour creuser davantage la place de l’adoration dans notre vie, revenons à la bénédiction miraculeuse de 1822, car, à ce moment de notre histoire de la Sainte Famille, le Seigneur ne nous lance-t-Il pas un appel précis ? Appel à une vie Eucharistique, à une vie d’action de grâce et d’adoration, à une vie de louange au cœur de l’Eglise?… Lire la suite
Tu es Seigneur Jésus,
“une Présence d’Amour,
une Présence de Lumière,
et comme le dit magnifiquement St Augustin,
la Vie de notre vie!” (cf. M.Zundel)
“Il enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme les scribes”. Car il ne disait pas “le Seigneur dit ceci”, ni “Celui qui m’a envoyé dit cela”; il parlait en son nom, lui qui primitivement avait parlé par les prophètes. Il y a une nuance entre les expressions “Il est écrit” et “le Seigneur dit cela”; mais il est encore différent de dire “En vérité, je vous le dis“… Nul n’est habilité à changer la loi, hormis le Roi en personne.” (St Jérôme – Hom sur St Marc)
“Quand Jésus parle de Dieu, les hommes ont l’impression que Dieu est réellement présent. Ce qu’il dit, il ne le tient de personne d’autre, mais de sa propre expérience, et les auditeurs sont atteints et leur cœur bouleversé ; ils ne peuvent pas prendre du recul et réfléchir tranquillement sur ce qu’il a dit. Ils sentent que Jésus parle comme étant investi de l’autorité, que ses paroles font percevoir la puissance et la présence même de Dieu, et ils savent que la vérité, c’est cela.
“Voilà un enseignement nouveau proclamé avec autorité”
Le mot grec qui dit « l’autorité », le plein pouvoir, est exousia, et il signifie aussi la liberté d’agir comme on l’entend. C’est en toute liberté intérieure que Jésus parle de Dieu, sans crainte, et comme un souverain dont le pouvoir participe de celui même de Dieu. Littéralement, exousia veut dire : « à partir de l’être » ; Jésus agit et parle depuis le sein de l’être, où il a sa demeure, de son être propre et de celui de Dieu, et ses paroles sont en accord avec cet être.” (Anselm Grün)
Seigneur Jésus-Christ,
fais-nous la grâce de t’aimer
ici et maintenant,
aujourd’hui,
dans le sans-logis ou le miséreux
qui est devant nous!
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
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C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
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Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
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Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
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C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
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Que s’est-il passé le trois Février 1822
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Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
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Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux ?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.
Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.
Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Que s’est-il passé le trois Février 1822
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin à Bordeaux?
Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……
C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.
Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée.
Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans. Aujourd’hui même, en ce moment, de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Famille est présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne.
Ce que dans la Famillenous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer. Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.
Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spirituelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.
C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.
Sr Lorette Laffargue – sfb
Seigneur Jésus,
accorde-nous la grâce
de rayonner Ta Présence ,
et d’apporter aux autres
toute la lumière
toute la richesse
et toute la joie de Ton Amour!
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès :
“Famille en Mission,
Don dans un monde en changement ».
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
Les découvertes scientifiques nous ont appris que Dieu ne se tient pas derrière les éclairs et le tonnerre. La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Nous célébrons cette année le 190ième anniversaire du miracle eucharistique du 3 février 1822 ! Bénédiction pour toute la Famille spirituelle du Vénérable Pierre Bienvenu NOAILLES ! Bénédiction toute particulière en cette année où des membres des diverses vocations de la Sainte-Famille de Bordeaux vont se retrouver à la Solitude pour célébrer la deuxième étape du Congrès: “Famille en Mission, don dans un monde en changement”
Le monde a changé. Le monde change. Le monde est bousculé, soumis avec une intensité particulière, à toutes sortes de mouvements, de crises. Il y a des souffles qui animent des peuples réclamant leur droit à la dignité mais aussi des souffles de violence, de haine, de guerre.
Nous sommes une portion de l’humanité, une petite famille à l’intérieur de la grande famille de l’univers. Dieu nous fait confiance, Il fait de nous ses collaborateurs aujourd’hui pour faire avancer son Royaume d’amour et de Paix ! Nous sommes invités à trouver de nouveaux moyens, de nouveaux chemins pour donner au monde en quête de sens, un souffle de vie véritable. Le souffle de l’Evangile de Jésus-Christ.
Le changement réel du cosmos – de l’humanité – passe par une conversion intérieure profonde, radicale. Nous avons à mourir à nous-mêmes pour acquérir « un regard qui nous fait voir le monde dans sa gratuité. Un regard de pauvre qui fait de l’être humain un témoin et un relais de l’Amour créateur. » (Eloi Leclerc)
La nouvelle cosmologie dépouille Dieu de sa toute-puissance, caricature de son être véritable. Elle nous oblige à porter un regard nouveau sur l’univers tout entier pour y découvrir la véritable identité du Créateur, son mode de présence. L’univers apparaît comme la révélation cosmique de Dieu (Rom 1,20), le premier sacrement ou encore « le poème de Dieu » (St Augustin) que nous aimons chanter et méditer, contempler et célébrer dans notre prière personnelle et communautaire. Il est l’oeuvre de Dieu.
Brian Swimme écrit : « Cette nouvelle connaissance, cette nouvelle histoire, nous permet réellement de voir qui nous sommes, de voir où nous sommes, et de voir ce que nous devons faire en tant qu’espèce, individus, nations et entreprises. Elle nous fournit un chemin fondamental vers le futur, vers une vie exaltante. »
Prenons ce chemin fondamental ! Comme Famille en mission, don pour le monde, avançons au large vers cette vie exaltante. Parce qu’appelés « à la fidélité créatrice, à une réponse issue de la diversité des dons, dans un détachement complet, pour la gloire de Dieu… nous sommes le terreau, l’humus où la semence de Dieu peut germer, s’enraciner et fleurir aujourd’hui.» (Sue Woodruff).
« Notre prière et notre contemplation s’emplissent d’émerveillement et de compassion lorsque se développe, en nous et autour de nous, un nouveau sens du sacré. » (Les Vœux pour la Mission). Avec le chant silencieux de la Création, notre prière contemplative est déjà participation à la louange éternelle de la Gloire et de la Sainteté de Dieu.
Nous avons à contempler le rayonnement cosmique du Christ dans l’Eucharistie. « Le christianisme n’est pas un système du monde. C’est la lumière d’une Personne Unique qui est Jésus-Christ » et « jamais on ne peut pénétrer au coeur de l’Evangile si l’on ne se met pas à l’école du Très Saint Sacrement. » (M.Zundel)
Et cette Lumière a brillé le 3 février 1822, sur l’œuvre de notre Fondateur au commencement de son histoire. De notre histoire. Ravivons notre capacité d’émerveillement, de gratitude pour la grâce exceptionnelle qu’a été pour la Sainte-Famille, le miracle eucharistique du 3 février 1822. Ravivons notre gratitude pour la fidélité de ceux et celles qui ont gardé vivante la mémoire de cet événement durant les 190 années écoulées.
« Quoi de plus simple, quoi de plus étonnant,
quoi de plus créateur que ce rayonnement,
ce rayonnement du Christ dans le très Saint-Sacrement ?
(M.Zundel)
Seigneur Jésus,
ouvre une brèche
à notre confort!
Aide-nous
à faire tomber
les barrières,
pour accueillir le sans-abri,
pour soutenir le chômeur,
pour tenir la main du malade,
pour écouter le cri de l’étranger!
Sois béni Seigneur!
A chaque instant,
Tu nous donnes la vie.
En nous,
tu as déposé ta Parole
pour que nous ayons
la vie, la vie en abondance,
la vie véritable!