Vie Contemplative – Sainte Famille de Bordeaux

Archives February 2012

Recevoir les cendres

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

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Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

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Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

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Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle,  quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête… bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme. 

Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.

Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.

Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.

Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi  quelle richesse de sens.

Mgr Hermann Giguère P.H

Catégories: Méditations | 22/02/2012

20120222

Je ne suis pas uniquement cendres, Seigneur !
Sous mes cendres,
Tu le sais,
Toi qui me connais,
dorment des braises
attendant d’être ranimées.

Seigneur, allume mes braises
pour qu’à nouveau brûle,
vive et joyeuse,
la flamme de mon amour
pour Toi et pour mon prochain ! (C.Singer)

Catégories: Prières | 22/02/2012

20120221

Parce que Dieu nous a faits
à son image
et à sa ressemblance
:

Nous sommes nés
pour le service
des plus pauvres
,
de tous ceux qui souffrent
aujourd’hui la dure situation
économique et sociale;

Nous sommes nés
pour embellir la terre,
pour la garder  dans son intégrité
alors qu’elle souffre la violence
des comportements de notre humanité.
(cf D.Rimaud)

Catégories: Prières | 21/02/2012

Portez votre prochain!

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

“ Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

Et où faut-il aller?
Il faut aller à ce Dieu
que nous devons aimer
de tout notre coeur…

Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à Celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

Catégories: Méditations | 20/02/2012

20120220

“Qu’est-ce qu’un coeur charitable?
C’est un coeur qui s’enflamme
de charité
pour la création tout entière…
pour toutes les créatures.(Isaac de Ninive)

Donne-nous Seigneur
un coeur humble et bon,
un coeur doux et miséricordieux,
un coeur lumineux de ta paix.

Catégories: Prières | 20/02/2012

Prière de Teilhard de Chardin

Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin

Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin

 

Vous le savez, mon Dieu,
le Monde ne m’apparaît plus guère
par les traits de sa multiplicité.
Quand je le contemple,
j’y aperçois surtout un réservoir sans limites
où les deux énergies contraires de la joie et de la souffrance,
s’accumulent en quantités immenses,
– pour la plus grande part inutilisées.
Cette masse hésitante et agitée,
je la vois parcourue de courants psychiques puissants,
formés d’âmes qu’entraînent
la passion de l’Art et de l’Éternel Féminin,
– la passion de la Science et de l’Univers dominé,
– la passion de l’autonomie individuelle et de l’Humanité libérée.
Et ces courants, par moments,
se rencontrent dans des crises redoutables.
Ils bouillonnent dans leur effort à s’équilibrer.
Quelle gloire pour vous, mon Dieu,
quel afflux de vie à votre Humanité,
si toute cette puissance spirituelle s’harmonisait en vous!
Seigneur, je rêve de voir extrait de tant de richesses,
inutilisées ou perverties,
tout le dynamisme qu’elles renferment.
Collaborer à ce travail,
voilà l’oeuvre à laquelle je veux me consacrer!
T.de Chardin

 

Catégories: Foi et vision cosmologique, Lu ailleurs | 20/02/2012

Crever le toit!

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.

Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

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St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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St Augustin

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

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Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.

Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

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St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.

Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

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St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.

” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”

St Augustin

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, foi, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.

Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.

Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui  est invraisemblable, fou, parfois.

Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés ”   Non!

Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence.

Est-il possible de crier pour lui: “Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant?

Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme  s’il venait de naître?

G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44

Catégories: Méditations | 18/02/2012

20120218

Dieu, tu travailles dans le monde inaperçu, irresistible comme la semence cachée qui chaque fois repousse.

Donne-nous de te voir à l’oeuvre partout dans les paroles qui délivrent, dans les gestes qui portent fruit.(F.Cromphout)

Catégories: Prières | 18/02/2012

20120217

Tu nous donnes
à construire
ta création nouvelle
où Tu seras notre lumière.

Remplis-nous
de ta force,
conduis-nous
vers ton avenir notre bonheur,
Seigneur Dieu! (Oosterhuis)

Catégories: Prières | 17/02/2012

20120216

Viens,
mon souffle et ma vie…

Viens donc, ô Seigneur,
Aujourd’hui dresse Ta tente ;

Fais ta demeure
et habite jusqu’au bout en moi.

(Syméon le Nouveau Théologien)

 

Catégories: Prières | 16/02/2012

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