Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
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Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
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Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
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Mgr Hermann Giguère P.H
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Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes. Recevoir les cendres,c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête dans un instant, bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Nous recevrons l’imposition des cendres sur notre tête… bien sûr que nous penserons à notre finitude, à la brièveté de la vie humaine comme on dit, mais aussi nous affirmerons que ce geste n’est pas un geste de démission, de fatalisme.
Recevoir les cendres c’est aussi croire en la vie, car celles-ci la nourrissent et l’entretiennent comme les usages anciens nous le montrent.
Recevoir les cendres, c’est croire que la vie maintenant mérite qu’on s’y enfonce jusqu’à la perdre pour Celui qui a donné la sienne « en rançon pour la multitude » et qui est devenu ainsi le « Premier-Né » d’un grand nombre de frères et sœurs dont nous sommes.
Recevoir les cendres, c’est croire en la vie nouvelle dans l’Esprit où nous sommes entrés avec le Christ par notre baptême.
Finitude et vie nouvelle, quel contraste, mais aussi quelle richesse de sens.
Mgr Hermann Giguère P.H
Catégories: Méditations | 22/02/2012
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
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“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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St Augustin
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G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
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” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
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La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
“Quand vous étiez malade, votre prochain vous portait; vous êtes maintenant revenu à la santé, portez votre prochain. Portez les fardeaux les uns des autres et ainsi vous accomplirez la loi du Christ. (Gal 6,2). Mais en le portant tâchez de marcher.
” Et où faut-il aller? Il faut aller à ce Dieu que nous devons aimer de tout notre coeur… Nous ne sommes pas encore arrivés jusqu’à lui, mais nous avons notre prochain toujours avec nous. Il faut donc porter celui qui est avec vous, afin que vous puissiez parvenir à celui avec qui vous voulez demeurer.”
St Augustin
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. c’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, foi, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“. Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfat? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieure de cet homme, en l’invitat à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés“.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés “.
Non! Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence. Est-il possible de crier pour lui: ” Tes péchés te sont remis ” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant? Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
La foi? c’est crever le toit. C’est jouer sa vie sur l’invisible, c’est à dire ce qu’on n’a jamais vu. C’est prendre appui sur Dieu pour “créer”. Pour faire naître ce qui n’existe pas encore, ce qu’on n’a pas entendu dire, ce qui est invraisemblable, fou, parfois.
Crever le toit, la foi, c’est provoquer Jésus à l’impossible. Il va relever le défi. Lui aussi crève un toit, plus épais que celui de la maison. Il va pénétrer dans cet homme perclus, muré dans son infirmité, et lui dire une parole inouïe, folle: “tes péchés sont pardonnés ” Non!
Est-il possible de briser la carapace qui s’est durcie sur un homme à travers le chaos, les petitesses et les coups de son existence.
Est-il possible de crier pour lui: “Tes péchés te sont remis” comme s’il allait retrouver la fraîcheur d’un visage d’enfant?
Qu’est-ce qui est le plus fou? Crever le toit de la maison ou faire irruption à l’intérieur de cet homme, en l’invitant à vivre comme s’il venait de naître?
G.Bessière – Jésus insaisissable – Ed du Cerf 1974 p:44
Catégories: Méditations | 18/02/2012