P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

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Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
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pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
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et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
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Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
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Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
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Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
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pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
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et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
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Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
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Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
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Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
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Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
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Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

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Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
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Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915
« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […] Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […]. Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […]. Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui… Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu. Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions,
le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances :
quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être.
Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur
qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout,
pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…).
Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés :
l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu,
et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne,
– ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix,
sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales.
Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire »,
reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité,
comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert : c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre.
Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin, elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
P Teilhard de Chardin – Lettre à sa soeur malade – 1915

« Ne t’inquiète pas de la valeur de ta vie, de ses anomalies, de ses déceptions, de son avenir plus ou moins obscur et sombre. Tu fais ce que Dieu veut. Tu lui offres, au milieu de tes inquiétudes et des insatisfactions, le sacrifice d’une âme humiliée qui s’incline malgré tout devant une Providence austère […]
Peu importe que dans l’intime de toi-même, tu sentes comme un poids naturel, la tendance à te replier sur tes tristesses et tes défauts […].
Peu importe que, humainement, tu te trouves « ratée » si Dieu, lui, te trouve réussie, à son goût […].
Petit à petit, Notre Seigneur te conquiert et te prend pour lui…
Je t’en prie quand tu te sentiras triste, adore et confie-toi.
Adore en offrant à Dieu ton existence qui te paraît abîmée par les circonstances : quel hommage plus beau que ce renoncement amoureux à ce qu’on aurait pu être. Confie-toi ! Perds-toi aveuglément dans la confiance en Notre Seigneur qui veut te rendre digne de lui et y arrivera, même si tu restes dans le noir jusqu’au bout, pourvu que tu tiennes sa main, toujours d’autant plus serrée que tu es plus déçue, plus attristée.
Laisse de côté […] toute analyse énervante de (..toi-même…). Nous traînerons, jusqu’au bout, avec nous, des incohérences et des inachevés : l’essentiel est d’avoir trouvé le centre d’unification, Dieu, et d’avoir loyalement essayé durant la vie de le faire régner dans notre personne, – ce petit fragment d’être que nous régissons et qui est si peu à nous…
Sois heureuse fondamentalement, je te le dis, sois en paix, sois inlassablement douce, ne t’étonne de rien, ni de ta fatigue physique, ni de tes faiblesses morales. Fais naître et garde tous les jours sur ton visage « le sourire », reflet de celui de Notre Seigneur qui veut agir par toi et pour cela se substituer toujours plus à toi…
Au fond de ton coeur, place avant tout, immuable comme base de toute activité, comme critère de la valeur, de la vérité des pensées qui t’envahissent, la paix de Dieu.
Tout ce qui te rétrécit et t’agite est faux, – au nom des lois de la Vie, au nom des promesses de Dieu…
Parce que ton action doit porter loin,
elle doit émaner d’un coeur qui a souffert :
c’est la loi – douce en somme … »
Catégories: Lu ailleurs | 14/03/2012