Vie Contemplative – Sainte Famille de Bordeaux

Dans une petite chapelle de la rue Mazarin…

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux ?


Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie, absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée. Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans.

Aujourd’hui même, en ce moment , de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Familleest présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne. Ce que, dans la Famille, nous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer.

Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés à devenir, au long de nos vies frères et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spiri-tuelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement Frère et Sœur. Cette Bénédiction elle se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

Que s’est-il passé le trois Février 1822 
dans la petite chapelle des sœurs de la Sainte-Famille,
de la rue Mazarin  à Bordeaux?

 

Le Fondateur, le Père Noailles (1793-1861) est un jeune prêtre bordelais de 29 ans, vicaire à l’Eglise Sainte-Eulalie,  absent ce jour-là, retenu par son ministère…. La Fondation de la Sainte-Famillle de Bordeaux remonte tout juste à 20 mois. Très décriée dans Bordeaux, cette communauté vit dans une extrême pauvreté et accepte malgré tout d’accueillir des petites  orphelines et de se charger de leur éducation. Les langues vont bon train. On prédit déjà  l’échec de cette communauté. Pourtant aux trois jeunes filles du commencement qui composaient la première communauté religieuse, se sont  jointes une quinzaine de personnes jeunes pour la plupart et 5 candidates.……

C’est ce petit groupe d’une vingtaine de personnes sans compter le prêtre, l’enfant de chœur, quelques orphelines et quelques autres personnes étrangères à la communauté qui tout d’un coup franchissent  la barrière qui sépare le visible de l’invisible.

Pendant plus de vingt minutes au cours de la Bénédictiondu Saint Sacrement, tous, à une exception près, voient, débordant le cadre de l’hostie, le Christ vivant se manifester sous l’apparence d’un jeune homme dans la perfection de ses trente ans, rayonnant de lumière, plein de bonté, de compassion en train de bénir l’assemblée.

Cest cet événement que nous commémorons aujourd’hui, comme chaque année depuis 190 ans. Aujourd’hui même, en ce moment,  de tous les continents, partout où un membre dela Sainte-Famille est présent, c’est une longue prière d’action de grâces qui s’élève vers le Seigneur pour cette faveur insigne.

Ce que dans la Famillenous appelons ‘’la Bénédiction Miraculeuse’’ du Seigneur, n’a jamais cessé de nous inspirer. Cet événement nous l’avons interprété sous ses angles multiples et il nous parle toujours de façon nouvelle. Il nous fait accéder à la profondeur de ce mystère quotidien qu’est l’Eucharistie où Jésus caché sous les espèces du pain et du vin se livre totalement et devient l’hôte de nos cœurs. Chacun établit avec le Christ une relation telle, que nous sommes unis à Lui, configurés à Lui, appelés  à devenir, au long de nos vies frères  et sœurs de Jésus.

Cette Bénédiction que nous avons reçue au commencement de notre existence en tant que Famille spirituelle, ne nous a pas été donnée une fois pour toutes, ni pour nous seules. Mystérieusement vous étiez présents, contenus dans cette bénédiction, et ensemble nous devons apprendre à devenir véritablement  Frère et Sœur. Cette Bénédiction se renouvelle chaque fois que nous devenons Bénédiction pour nos proches, nos amis, les frères et sœurs que nous rencontrons.

C’est dans le même ostensoir, qui, le 3 Février 1822, abrita le corps du Seigneur, que le Saint Sacrement sera exposé. Quoi que très émouvante, cette relique ne nous fait pas oublier que c’est par son corps et par son sang que le Christ se donne sans réserve.

Sr Lorette Laffargue – sfb

« La bonté… quel joli mot!

  • [:fr]Suivez-nous sur Facebook[:]

    [:fr]facebook[:]
  • Recent Posts

    • Dieu tu es…
    • Le Fils de l’homme
    • Ils disent et ne font pas
    • Tenir nos lampes allumées
    • Aimer Dieu
  • Recent Comments

    • Tous en Un... - Dominicains de Montpellier on L’unité existe déjà
  • Archives

    • February 2024
    • November 2023
    • October 2023
    • June 2023
    • May 2023
    • April 2023
    • March 2023
    • February 2023
    • January 2023
    • December 2022
    • June 2022
    • April 2022
    • March 2022
    • February 2022
    • December 2021
    • November 2021
    • October 2021
    • August 2021
    • July 2021
    • June 2021
    • April 2021
    • March 2021
    • February 2021
    • January 2021
    • December 2020
    • November 2020
    • October 2020
    • September 2020
    • August 2020
    • July 2020
    • June 2020
    • May 2020
    • April 2020
    • March 2020
    • February 2020
    • January 2020
    • December 2019
    • October 2019
    • September 2019
    • August 2019
    • July 2019
    • June 2019
    • May 2019
    • April 2019
    • March 2019
    • February 2019
    • January 2019
    • December 2018
    • November 2018
    • October 2018
    • September 2018
    • June 2018
    • May 2018
    • April 2018
    • March 2018
    • February 2018
    • January 2018
    • December 2017
    • November 2017
    • October 2017
    • September 2017
    • August 2017
    • July 2017
    • June 2017
    • May 2017
    • April 2017
    • March 2017
    • February 2017
    • January 2017
    • December 2016
    • November 2016
    • October 2016
    • September 2016
    • August 2016
    • July 2016
    • June 2016
    • May 2016
    • April 2016
    • March 2016
    • February 2016
    • January 2016
    • December 2015
    • November 2015
    • October 2015
    • September 2015
    • August 2015
    • July 2015
    • June 2015
    • May 2015
    • April 2015
    • March 2015
    • February 2015
    • January 2015
    • December 2014
    • November 2014
    • October 2014
    • September 2014
    • August 2014
    • July 2014
    • June 2014
    • May 2014
    • April 2014
    • March 2014
    • February 2014
    • January 2014
    • December 2013
    • November 2013
    • October 2013
    • September 2013
    • August 2013
    • July 2013
    • June 2013
    • May 2013
    • April 2013
    • March 2013
    • February 2013
    • January 2013
    • December 2012
    • November 2012
    • October 2012
    • September 2012
    • August 2012
    • July 2012
    • June 2012
    • May 2012
    • April 2012
    • March 2012
    • February 2012
    • January 2012
    • December 2011
    • November 2011
    • October 2011
    • September 2011
    • August 2011
    • July 2011
    • June 2011
    • May 2011
    • April 2011
    • March 2011
    • February 2011
    • January 2011
    • December 2010
    • November 2010
    • October 2010
    • September 2010
    • August 2010
    • July 2010
    • June 2010
    • May 2010
    • April 2010
    • March 2010
    • February 2010
    • January 2010
    • December 2009
    • November 2009
    • October 2009
    • September 2009
    • August 2009
    • July 2009
    • June 2009
    • May 2009
    • April 2009
    • March 2009
    • February 2009
    • January 2009
    • December 2008
    • November 2008
    • October 2008
    • September 2008
    • August 2008
    • July 2008
    • June 2008
    • May 2008
    • April 2008
    • March 2008
    • February 2008
    • January 2008
    • December 2007
    • December 207
    • May 205
    • October 203
  • Categories

    • Agenda
    • Bible
    • Chapitre vicarial 2014
    • Choisir la vie
    • Ecritures et Tradition rabbinique
    • Eucharistie et Adoration
    • Evénements de l'Eglise
    • Events
    • Foi et vision cosmologique
    • Infos autres monastères sfb
    • Infos Solitude
    • Le jardin de la Bible
    • Lectio Divina
    • Lu ailleurs
    • Méditations
    • Non classé
    • Notre chemin de vie contemplative
    • Prières
    • Vie consacrée
    • Vie du Père Noailles en images
    • Vu ailleurs
    • Zoom sur la Solitude
  • Meta

    • Log in
    • Entries feed
    • Comments feed
    • WordPress.org
  • Sommaire

    • Accueil
    • Notre vie contemplative
    • Communautés
      • La Solitude – Martillac
      • Nagoda
      • Oteiza
      • Posadas
      • Album photos
    • Intentions de prière
    • Vie du Père Noailles en images
    • Outils web
  • Categories

    • Bible (16)
      • Le jardin de la Bible (15)
    • Choisir la vie (16)
    • Evénements de l'Eglise (62)
    • Events (3)
    • Infos Solitude (268)
      • Infos autres monastères sfb (8)
      • Zoom sur la Solitude (25)
    • Lectio Divina (82)
    • Lu ailleurs (918)
      • Ecritures et Tradition rabbinique (39)
      • Eucharistie et Adoration (13)
      • Foi et vision cosmologique (115)
      • Vie consacrée (24)
    • Méditations (1,084)
    • Notre chemin de vie contemplative (62)
      • Chapitre vicarial 2014 (4)
    • Vie du Père Noailles en images (28)
    • Vu ailleurs (17)
  • Lu ailleurs

    • Seigneur, donne-nous…
    • « Il disparut à leurs yeux »
    • Si j’étais…
    • Le chemin de la paix
    • Pour être heureux
    • Bicentenaire du miracle eucharistique
    • Dieu s’est fait homme
  • Liens

    • CEF
    • Centre Spirituel La Solitude – MARTILLAC
    • Congrès de la Famille
    • Diocèse de Bordeaux
    • Fondation Pierre-Bienvenu NOAILLES
    • Institut religieux de la Sainte Famille de Bordeaux
    • Lectio divina.cef.fr
    • Monastic
    • Oblats de Marie Immaculée
    • Province de la Sainte Famille Britain & Ireland
    • Sainte-Famille de Bordeaux
    • Secteur Pastoral des Graves
    • Soeurs de Notre Dame de Sion
    • Vie contemplative Sainte-Famille
  • Archives

    • February 2024
    • November 2023
    • October 2023
    • June 2023
    • May 2023
    • April 2023
    • March 2023
    • February 2023
    • January 2023
    • December 2022
    • June 2022
    • April 2022
    • March 2022
    • February 2022
    • December 2021
    • November 2021
    • October 2021
    • August 2021
    • July 2021
    • June 2021
    • April 2021
    • March 2021
    • February 2021
    • January 2021
    • December 2020
    • November 2020
    • October 2020
    • September 2020
    • August 2020
    • July 2020
    • June 2020
    • May 2020
    • April 2020
    • March 2020
    • February 2020
    • January 2020
    • December 2019
    • October 2019
    • September 2019
    • August 2019
    • July 2019
    • June 2019
    • May 2019
    • April 2019
    • March 2019
    • February 2019
    • January 2019
    • December 2018
    • November 2018
    • October 2018
    • September 2018
    • June 2018
    • May 2018
    • April 2018
    • March 2018
    • February 2018
    • January 2018
    • December 2017
    • November 2017
    • October 2017
    • September 2017
    • August 2017
    • July 2017
    • June 2017
    • May 2017
    • April 2017
    • March 2017
    • February 2017
    • January 2017
    • December 2016
    • November 2016
    • October 2016
    • September 2016
    • August 2016
    • July 2016
    • June 2016
    • May 2016
    • April 2016
    • March 2016
    • February 2016
    • January 2016
    • December 2015
    • November 2015
    • October 2015
    • September 2015
    • August 2015
    • July 2015
    • June 2015
    • May 2015
    • April 2015
    • March 2015
    • February 2015
    • January 2015
    • December 2014
    • November 2014
    • October 2014
    • September 2014
    • August 2014
    • July 2014
    • June 2014
    • May 2014
    • April 2014
    • March 2014
    • February 2014
    • January 2014
    • December 2013
    • November 2013
    • October 2013
    • September 2013
    • August 2013
    • July 2013
    • June 2013
    • May 2013
    • April 2013
    • March 2013
    • February 2013
    • January 2013
    • December 2012
    • November 2012
    • October 2012
    • September 2012
    • August 2012
    • July 2012
    • June 2012
    • May 2012
    • April 2012
    • March 2012
    • February 2012
    • January 2012
    • December 2011
    • November 2011
    • October 2011
    • September 2011
    • August 2011
    • July 2011
    • June 2011
    • May 2011
    • April 2011
    • March 2011
    • February 2011
    • January 2011
    • December 2010
    • November 2010
    • October 2010
    • September 2010
    • August 2010
    • July 2010
    • June 2010
    • May 2010
    • April 2010
    • March 2010
    • February 2010
    • January 2010
    • December 2009
    • November 2009
    • October 2009
    • September 2009
    • August 2009
    • July 2009
    • June 2009
    • May 2009
    • April 2009
    • March 2009
    • February 2009
    • January 2009
    • December 2008
    • November 2008
    • October 2008
    • September 2008
    • August 2008
    • July 2008
    • June 2008
    • May 2008
    • April 2008
    • March 2008
    • February 2008
    • January 2008
    • December 2007
    • December 207
    • May 205
    • October 203