Vie Contemplative – Sainte Famille de Bordeaux

Archives April 2012

L’univers intime

L’univers intime

Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.

L’univers intime

Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

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L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses

par Thomas Berry, CP

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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

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par Thomas Berry, CP

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 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.

L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses

par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article

L’univers intime

Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.

L’univers intime

Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.

L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses

par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article

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Un défi pour les communautés religieuses par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

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 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

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 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

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 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

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 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même.

L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses

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Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article


L’univers intime Un défi pour les communautés religieuses

par Thomas Berry, CP

Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

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La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article

L’univers intime
Un défi pour les communautés religieuses

par Thomas Berry, CP


Dans le monde naturel, il y a une intimité des choses, une intimité des unes avec les autres. La familiarité du vent avec les oiseaux de proie qui montent en flèche, de la pluie avec la végétation, de la mer avec le rivage. C’est aussi l’intimité de l’abeille avec les fleurs, l’intimité des merles bleus avec leurs oisillons nouvellement éclos.

 Même dans les relations prédateur-proie, il y a une dépendance établie de telle sorte que chacun ait un besoin profond de l’autre. Finalement, c’est une intimité plutôt qu’une inimitié. Le test ultime est la créativité des êtres en présence les uns avec les autres.

 Même dans « l’avant vie » des choses, il y avait l’intimité des atomes dans les structures moléculaires, celle du soleil avec la terre…

La structure même et la créativité de l’univers dépendent de l’intimité des choses, les unes avec les autres. Chaque être existe en relation avec toute la communauté des êtres qui forme l’univers ; c’est ainsi dans la manière d’être des  humains. Nous venons à la vie à travers les anciens modes d’être et avec un attachement intime à l’univers lui-même….Lire la suite de l’article

Catégories: Foi et vision cosmologique | 24/04/2012

20120424

Qu’il te soit agréable
ô Dieu saint,

de nous accorder
une journée douce
et heureuse!

Sois béni et glorifié
à jamais!

 

Catégories: Non classé | 24/04/2012

20120423

Seigneur notre Dieu,
que ton souffle
de vie

nous aide à faire
de ce monde
un lieu habitable!

Catégories: Prières | 23/04/2012

Journée de la Terre Mère

 

Dans le ciel et par toute la terre nous entendons, Seigneur le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles, jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur et à nous tourner vers toi.
A.Gignac 

 

Dans le ciel et par toute la terre nous entendons, Seigneur le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles, jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur et à nous tourner vers toi.
A.Gignac 

Dans le ciel et par toute la terre nous entendons,
Seigneur
le très beau chant de la vie.
Depuis le soleil qui donne sa chaleur
jusqu’aux étoiles les plus lointaines,
depuis les fleurs des champs les plus humbles,
jusqu’au vol audacieux des plus grands des oiseaux,
depuis l’enfant qui vient de naître
jusqu’au travail quotidien de tant de gens,
tout nous invite à vivre, à chercher ensemble le bonheur
et à nous tourner vers toi.
A.Gignac 

Catégories: Lu ailleurs | 22/04/2012

Le message de Jérusalem

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Les pèlerins d’Emmaüs, après avoir reconnu Jésus ressuscité sont retournés à Jérusalem, c’est-à-dire au cœur même de la Révélation ; le lieu où Dieu a choisi de faire résider son Nom .

Ils sont repartis vers  les Apôtres  et leurs compagnons restés à Jérusalem  signifiant ainsi pour nous aujourd’hui que toute expérience personnelle n’a de sens que reliée à l’expérience de la communauté. (Lc 24,33-35).

 

Les deux pèlerins d’Emmaüs  retrouvèrent  « les  onze Apôtres et ceux qui étaient avec eux, assemblés et disant : le Seigneur est réellement ressuscité et il est apparu à Simon. Ils racontèrent ce qui leur était arrivé en chemin, et comment ils l’avaient reconnu.  Au moment où il rompit le pain.»  (Lc 24,33-35)

« Tandis qu’ils parlaient, Jésus  lui-même se présenta au milieu d’eux » (Lc 24,36) Saisis  de frayeur, les onze et leurs compagnons hésitent à le reconnaître.  Devant leur doute persistant, comme Il l’a déjà fait pour les deux pèlerins sur le chemin d’Emmaüs, Jésus va  ouvrir leur intelligence pour comprendre les Ecritures. C’est le « collier de Jérusalem ».

« Il est toujours leur Maître,
il continue à les enseigner 
»
(Théophylacte)

Sur le chemin d’Emmaüs comme à Jérusalem,  Jésus ne s’adresse pas à ceux qui l’entourent  comme un Maître. Il parle  lui-même, à la 1ère personne car Il  est la Parole vivante,  « le Verbe condensé, unifié, parfait! Verbe vivant et vivifiant » (H de Lubac)

Parcourant toutes les Ecritures, Jésus montre aux Apôtres réunis qu’en Lui, toutes les  promesses prophétiques se sont  accomplies pour Israël et pour toute l’humanité. Il montre  que toutes les Ecritures se concentrent et se récapitulent dans  sa Pâque  qui surmonte le péché et la mort. (Lc 24,44-47)

« Vous êtes témoins de ces choses. »
(Lc 24,48)

Les Apôtres et  tous les autres disciples témoins du Christ, seront ses témoins, parce que « revêtu de la force d’en-haut », c’est-à-dire de l’Esprit saint. (Luc 24,48- 49).  Et c’est  à partir de Jérusalem qu’ils doivent commencer car « de Sion sortira la loi et de Jérusalem la parole de l’Eternel » (Is 2,3)

Catégories: Méditations | 22/04/2012

20120422

Seigneur,
que tes oeuvres
sont belles!

Que tout ce qui vit
te rende grâce
et célèbre ton nom
avec foi,

ô Dieu,
notre secours
et notre éternel appui!  (prière juive)

 

Catégories: Prières | 22/04/2012

20120421

Accorde, Seigneur,
la paix et le bonheur,

ta bénédiction, tes grâces
et ta miséricorde

à nos proches
comme à nous-mêmes.

Bénis-nous tous
ô Notre Père.

Catégories: Prières | 21/04/2012

20120420

Ce que la vie est immense!
Ce que la vie est belle!
Ce que la vie est infinie!

Seigneur Dieu,
tu rempli nos coeurs
et tu  es l’espace infini
où notre liberté respire!

Gloire et louange à Toi!   (cf. M.Zundel)

Catégories: Prières | 20/04/2012

Interview avec Brian Swimme

Un extrait d’une interview avec Brian Swimme


Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

 

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

 

Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?

La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.

Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

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Un extrait d’une interview avec Brian Swimme


Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

 

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

 

Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?

La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.

Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

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Un extrait d’une interview avec Brian Swimme


Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

 

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

 

Qu’est-ce que la cosmologie et pourquoi les catholiques devraient-ils s’en soucier?

La cosmologie est l’étude de la naissance, du développement et du destin de l’univers à partir d’un point de vue scientifique, mais plus traditionnellement, elle est l’étude de l’univers et le rôle de l’humain dans l’univers. Ce que j’aime dans le mot cosmologie, c’est qu’il a un sens dans le monde scientifique et dans le monde religieux. Saint Thomas d’Aquin et le poète médiéval Dante Alighieri sont deux des grands cosmologistes de la tradition chrétienne, et les physiciens Stephen Hawking et Carl Sagan seraient les deux cosmologistes les plus célèbres de notre temps.

Comment la pensée catholique contribue-t-elle à la compréhension scientifique de l’univers?

La contribution importante du catholicisme est sa tradition sacramentelle et sa vision de l’univers comme révélateur – comme une révélation directe de Dieu. Un exemple de ceci serait notre soleil. Notre soleil donne la lumière par un processus merveilleux, par lequel 600 millions de tonnes d’hydrogène sont transformés à 596 millions de tonnes d’hélium.  Les 4 millions de tonnes mis de côté deviennent de la lumière. Chaque seconde notre soleil transforme 4 millions de tonnes de lui-même en lumière. Cette transformation continuelle est irréversible, le soleil ne reprend pas l’énergie. Une fois transformé en lumière, cette dernière se disperse dans toutes les directions. Tout ce qui s’est passé dans la vie de cette planète dépend directement de cette lumière. Si nous sommes en mouvement, nous parlons et pensons, c’est seulement à cause de l’énergie du soleil qui circule à travers notre corps. Si le soleil n’était pas là, la température terrestre serait de 400 degrés au-dessous de zéro. La biosphère entière serait flétrie et morte.

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Catégories: Foi et vision cosmologique | 20/04/2012

Le commencement de la Torah

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre (Gn 1,1)
Béréchit bara élohim ‘èt hachamayim vé’èt ha’arets 

Le commencement de la Torah décrit la création divine de l’univers. Le récit des six jours de la création s’achevant par le Chabbat et de Adam et Ève dans le jardin d’Éden est si simple qu’il peut être enseigné à un jeune enfant. Et en même temps il est si merveilleusement profond. Le Talmud, le Midrache, le Zohar sont d’anciens ouvrages du Judaïsme qui expliquent de manière approfondie le sens des premiers chapitres de la Torah.

Un point qu’il est utile de remarquer est que l’univers, la nature, est en soi une communication que D.ieu nous adresse. L’immensité, l’extrême diversité, l’idée de structure et la constante interaction de forces dynamiques expriment quelque chose de D.ieu, qui amène chaque détail de l’univers à l’existence. Une peinture dans une galerie d’art nous enseigne quelque chose sur le peintre. L’existence nous dit quelque chose sur D.ieu.

Les Sages juifs présentent cela comme une des raisons de la création : la communication à l’humanité d’un certain aspect, tout au moins, de la qualité divine. Cette idée est contenue dans la langue hébraïque : l’un des noms de D.ieu – Elokim – possède la même valeur numérique que le mot hébraïque pour « nature », hatéva. À travers la contemplation de l’existence, que ce soit à l’œil nu, avec un microscope ou un radiotélescope, on peut se rapprocher de la conscience du divin.

par Tali Loewenthal

Catégories: Ecritures et Tradition rabbinique | 19/04/2012

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