Jésus guérit dans une synagogue (lieu de prière), dans la maison de Simon (lieu privé) , à la porte d’une ville (lieu public). Il guérit là où vivent les hommes et les femmes blessés par la vie, la maladie, exclus de la vie sociale et religieuse. Il regarde, il s’avance vers, il tend la main, il touche. Il rejoint tout l’être humain et tout être humain .
Bossuet fait remarquer que “les miracles de Jésus tiennent plus de la bonté que de la puissance“. Et c’est en cela qu’ils touchent le plus profond des cœurs, de nos cœurs”.
Jésus peut être proche du malade ou éloigné de lui comme lors de la guérison de la fille de la Cananéenne (Mc 7,30) et du serviteur du centurion (Lc 7,10). Les guérisons peuvent être instantanée ou lentes comme par exemple la guérison de l’aveugle de Bethsaïda (Mc 8,22-25), la guérison d’un lépreux (Lc 17,12-16).
« Dans l’œuvre des miracles, deux choses sont essentielles : la puissance de celui qui agit et la foi de celui qui doit recevoir le bénéfice du miracle » (Victor d’Antioche )
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