Le parfum gaspillé
“Comme la femme de l’onction à Béthanie, l’Église n’a pas craint de « gaspiller », plaçant le meilleur de ses ressources pour exprimer son admiration et son adoration face au don incommensurable de l’Eucharistie.
De même que les premiers disciples chargés de préparer la « grande salle », elle s’est sentie poussée, au cours des siècles et dans la succession des cultures, à célébrer l’Eucharistie dans un contexte digne d’un si grand Mystère.” (Ecclesia de Eucharistia – Jean-Paul II N° 48)
Le parfum que reçoit Jésus
est la fidélité constante et l’adoration véritable
de tous ceux qui confessent son Nom.