L’Ecriture, parole féconde
St Syméon le nouveau théologien (949-1024): Ce n’est pas une fois seulement que l’Esprit Saint a agi sur les écrivains sacrés, donnant ainsi naissance aux textes sacrés, mais il agit toujours sur celui qui lit les Écritures, et seule sa présence permet à la lettre de devenir esprit, lui seul assure une jeunesse perpétuelle au texte.
L’Ecriture devient Parole féconde
si l’Esprit de Dieu anime celui qui la lit.
Guigues le Chartreux (1083-1136): Par lecture, il faut entendre l’examen attentif des Écritures, faite avec un esprit concentré.
La méditation est l’action persévérante de l’intelligence, qui cherche, au moyen de sa propre raison, la connaissance d’une vérité cachée.
La prière est la religieuse orientation du cœur vers Dieu, pour s’écarter de ce qui est mal ou atteindre ce qui est bon.
La contemplation désigne une sorte d’élévation de l’esprit au-dessus de lui-même, en Dieu, goûtant les joies de la douceur éternelle. » (p.52).