le Lieu de la Théophanie
Luc établit une comparaison et même une certaine opposition entre le couple Zacharie/Élizabeth, qui se situe à la fin de l’Ancien Testament, dont la foi hésitante et questionnante de Zacharie est un symbole et le coupleMarie/Joseph, humblement fidèles à la Loi et surtout ouverts à l’Esprit.
Entre les deux se trouvent les deux vieillards Syméon et Anne, en qui s’incarne toute l’attente confiante de l’Ancien Testament. Ils se situent au point de rupture.
Jérusalem, le Temple, deux espaces par excellence de la présence du Dieu d’Israël au milieu de son Peuple, aujourd’hui lieux de l’aboutissement des antiques promesses transmises au peuple de Dieu par le message de plusieurs prophètes.
Ce geste public des parents amenant l’enfant Jésus exprime la continuité et la rupture entre l’autrefois du peuple de Dieu et la réalisation définitive des promesses. Dieu vient à la rencontre de son peuple dans son temple. Mais le lieu de la théophanie n’est plus le Temple mais la personne de Jésus.
Le lieu de la théophanie n’est plus le Temple
mais la personne de Jésus.
Luc établit une comparaison et même une certaine opposition entre le couple Zacharie/Élizabeth, qui se situe à la fin de l’Ancien Testament, dont la foi hésitante et questionnante de Zacharie est un symbole et le coupleMarie/Joseph, humblement fidèles à la Loi et surtout ouverts à l’Esprit.
Entre les deux se trouvent les deux vieillards Syméon et Anne, en qui s’incarne toute l’attente confiante de l’Ancien Testament. Ils se situent au point de rupture.
Jérusalem, le Temple, deux espaces par excellence de la présence du Dieu d’Israël au milieu de son Peuple, aujourd’hui lieux de l’aboutissement des antiques promesses transmises au peuple de Dieu par le message de plusieurs prophètes.
Ce geste public des parents amenant l’enfant Jésus exprime la continuité et la rupture entre l’autrefois du peuple de Dieu et la réalisation définitive des promesses. Dieu vient à la rencontre de son peuple dans son temple. Mais le lieu de la théophanie n’est plus le Temple mais la personne de Jésus.
Le lieu de la théophanie n’est plus le Temple
mais la personne de Jésus.
Luc établit une comparaison et même une certaine opposition entre le couple Zacharie/Élizabeth, qui se situe à la fin de l’Ancien Testament, dont la foi hésitante et questionnante de Zacharie est un symbole et le couple Marie/Joseph, humblement fidèles à la Loi et surtout ouverts à l’Esprit.
Entre les deux se trouvent les deux vieillards Syméon et Anne, en qui s’incarne toute l’attente confiante de l’Ancien Testament. Ils se situent au point de rupture.
Jérusalem, le Temple, deux espaces par excellence de la présence du Dieu d’Israël au milieu de son Peuple, aujourd’hui lieux de l’aboutissement des antiques promesses transmises au peuple de Dieu par le message de plusieurs prophètes.
Ce geste public des parents amenant l’enfant Jésus exprime la continuité et la rupture entre l’autrefois du peuple de Dieu et la réalisation définitive des promesses. Dieu vient à la rencontre de son peuple dans son temple. Mais le lieu de la théophanie n’est plus le Temple mais la personne de Jésus.
Le lieu de la théophanie n’est plus le Temple
mais la personne de Jésus.