Le chrétien idéal
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90
Pierre Teilhard de Chardin se posait la question : « Quel sera donc, enfin, le chrétien idéal, le chrétien à la fois nouveau et ancien, qui résoudra en son âme le problème de l’équilibre vital, en faisant passer toute la sève du monde dans son effort vers la divine Trinité ? »
Et dans La Messe sur le monde, il écrivait : « Celui qui aimera passionnément Jésus caché dans les forces qui font grandir la terre, la terre maternellement le soulèvera dans ses bras géants, et elle lui fera contempler le visage de Dieu »
François d’Assise me semble avoir réalisé cet idéal. Dans sa présence au monde, il réconcilie l’élan surnaturel du christianisme et l’enthousiasme cosmique. Et il le fait avec une extrême simplicité : en retrouvant dans le Christ la douceur du Créateur.
Eloi LECLERC –
Le soleil se lève sur Assise p: 89 -90