Ce que j’aime
Ce que j’aime – disait un jour François de Sales
en son langage gracieux,
Plus que tout les trésors que ce bas monde étale
Plus que tous les trésors des cieux:
Oui, ce que j’aime plus que la fleur qui se mire
Au bord des transparentes eaux,
Plus que la brise qui soupire,
Plus que le vol sublime et le chant des oiseaux,
Plus que le flot suivi par le flot qui l’efface
Et dont le murmure m’endort,
Plus que les étoiles, fleurs d’or
Ecloses dans les champs merveilleux de l’espace,
Plus que l’éclair jetant dans le coeur des méchants
D’heureuses et vives alarmes,
Plus que les yeux bleus d’un enfant
Souriant à travers ses larmes,
Plus que la lampe d’or dont la vague lueur
Rayonne au fond du sanctuaire
Plus que les doux moments d’extase et de prière
Que l’on passe auprès du Seigneur,
Plus que le Paradis où mon âme s’envole,
Le Paradis où Dieu m’attend,
Et plus que les secrets de sa sainte parole
Qu’en silence mon coeur entend
(…)
Plus que son doux sourire et que sa grâce même
Rayonnante toujours, rayonnante en tout lieu,
Ce que j’aime, enfin ce que j’aime,
C’est la volonté du Bon Dieu.
Charles de Foucault – Notes de spiritualité (1888-1916)
Ed Nouvelle Cité -1970
Ce que j’aime – disait un jour François de Sales
en son langage gracieux,
Plus que tout les trésors que ce bas monde étale
Plus que tous les trésors des cieux:
Oui, ce que j’aime plus que la fleur qui se mire
Au bord des transparentes eaux,
Plus que la brise qui soupire,
Plus que le vol sublime et le chant des oiseaux,
Plus que le flot suivi par le flot qui l’efface
Et dont le murmure m’endort,
Plus que les étoiles, fleurs d’or
Ecloses dans les champs merveilleux de l’espace,
Plus que l’éclair jetant dans le coeur des méchants
D’heureuses et vives alarmes,
Plus que les yeux bleus d’un enfant
Souriant à travers ses larmes,
Plus que la lampe d’or dont la vague lueur
Rayonne au fond du sanctuaire
Plus que les doux moments d’extase et de prière
Que l’on passe auprès du Seigneur,
Plus que le Paradis où mon âme s’envole,
Le Paradis où Dieu m’attend,
Et plus que les secrets de sa sainte parole
Qu’en silence mon coeur entend
(…)
Plus que son doux sourire et que sa grâce même
Rayonnante toujours, rayonnante en tout lieu,
Ce que j’aime, enfin ce que j’aime,
C’est la volonté du Bon Dieu.
Charles de Foucault – Notes de spiritualité (1888-1916)
Ed Nouvelle Cité -1970
Ce que j’aime – disait un jour François de Sales
en son langage gracieux,
Plus que tout les trésors que ce bas monde étale
Plus que tous les trésors des cieux:
Oui, ce que j’aime plus que la fleur qui se mire
Au bord des transparentes eaux,
Plus que la brise qui soupire,
Plus que le vol sublime et le chant des oiseaux,
Plus que le flot suivi par le flot qui l’efface
Et dont le murmure m’endort,
Plus que les étoiles, fleurs d’or
Ecloses dans les champs merveilleux de l’espace,
Plus que l’éclair jetant dans le coeur des méchants
D’heureuses et vives alarmes,
Plus que les yeux bleus d’un enfant
Souriant à travers ses larmes,
Plus que la lampe d’or dont la vague lueur
Rayonne au fond du sanctuaire
Plus que les doux moments d’extase et de prière
Que l’on passe auprès du Seigneur,
Plus que le Paradis où mon âme s’envole,
Le Paradis où Dieu m’attend,
Et plus que les secrets de sa sainte parole
Qu’en silence mon coeur entend
(…)
Plus que son doux sourire et que sa grâce même
Rayonnante toujours, rayonnante en tout lieu,
Ce que j’aime, enfin ce que j’aime,
C’est la volonté du Bon Dieu.
Charles de Foucault – Notes de spiritualité (1888-1916)
Ed Nouvelle Cité -1970
Ce que j’aime – disait un jour François de Sales
en son langage gracieux,
Plus que tout les trésors que ce bas monde étale
Plus que tous les trésors des cieux:
Oui, ce que j’aime plus que la fleur qui se mire
Au bord des transparentes eaux,
Plus que la brise qui soupire,
Plus que le vol sublime et le chant des oiseaux,
Plus que le flot suivi par le flot qui l’efface
Et dont le murmure m’endort,
Plus que les étoiles, fleurs d’or
Ecloses dans les champs merveilleux de l’espace,
Plus que l’éclair jetant dans le coeur des méchants
D’heureuses et vives alarmes,
Plus que les yeux bleus d’un enfant
Souriant à travers ses larmes,
Plus que la lampe d’or dont la vague lueur
Rayonne au fond du sanctuaire
Plus que les doux moments d’extase et de prière
Que l’on passe auprès du Seigneur,
Plus que le Paradis où mon âme s’envole,
Le Paradis où Dieu m’attend,
Et plus que les secrets de sa sainte parole
Qu’en silence mon coeur entend,
(…)
Plus que son doux sourire et que sa grâce même
Rayonnante toujours, rayonnante en tout lieu,
Ce que j’aime, enfin ce que j’aime,
C’est la volonté du Bon Dieu.
Charles de Foucault – Notes de spiritualité (1888-1916)
Ed Nouvelle Cité -1970