Que faites-vous grand-mère?
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
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Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
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D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
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Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
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Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
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Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
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Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
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Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
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Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
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Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
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Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
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Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
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Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
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pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée