Le pain et le vin
L’unique épi véritable a donné le pain,
le pain du ciel infini.
Le pain qu’avait rompu le premier-né dans le désert
avait péri et fut épuisé, bien que multiplié.
Il revint rompre un pain nouveau
que les races et les générations n’ont pas pu consumer.
Les sept pains qu’il rompit ont péri,
épuisés aussi les cinq pains multipliés.
Un seul pain qu’il a rompu a vaincu la création,
car plus on le partage, plus il se multiplie .
Il a rempli aussi les jarres de beaucoup de vin :
ils y puisèrent et l’épuisèrent, bien que multiplié.
Le breuvage dans la coupe qu’il donna était modeste,
mais grande est sa puissance et sa limite.
Une coupe qui contient tous les vins,
mais le mystère qui s’y trouve est le même.
Unique est le pain qu’il rompit, sans limite,
unique la coupe qu’il mêla, sans fin.
Le grain qui fut semé pour trois jours
leva et remplit le grenier de la vie.
St Ephrem
Sur la nativité
L’unique épi véritable a donné le pain,
le pain du ciel infini.
Le pain qu’avait rompu le premier-né dans le désert
avait péri et fut épuisé, bien que multiplié.
Il revint rompre un pain nouveau
que les races et les générations n’ont pas pu consumer.
Les sept pains qu’il rompit ont péri,
épuisés aussi les cinq pains multipliés.
Un seul pain qu’il a rompu a vaincu la création,
car plus on le partage, plus il se multiplie .
Il a rempli aussi les jarres de beaucoup de vin :
ils y puisèrent et l’épuisèrent, bien que multiplié.
Le breuvage dans la coupe qu’il donna était modeste,
mais grande est sa puissance et sa limite.
Une coupe qui contient tous les vins,
mais le mystère qui s’y trouve est le même.
Unique est le pain qu’il rompit, sans limite,
unique la coupe qu’il mêla, sans fin.
Le grain qui fut semé pour trois jours
leva et remplit le grenier de la vie.
St Ephrem
Sur la nativité
L’unique épi véritable a donné le pain,
le pain du ciel infini.
Le pain qu’avait rompu le premier-né dans le désert
avait péri et fut épuisé, bien que multiplié.
Il revint rompre un pain nouveau
que les races et les générations n’ont pas pu consumer.
Les sept pains qu’il rompit ont péri,
épuisés aussi les cinq pains multipliés.
Un seul pain qu’il a rompu a vaincu la création,
car plus on le partage, plus il se multiplie .
Il a rempli aussi les jarres de beaucoup de vin :
ils y puisèrent et l’épuisèrent, bien que multiplié.
Le breuvage dans la coupe qu’il donna était modeste,
mais grande est sa puissance et sa limite.
Une coupe qui contient tous les vins,
mais le mystère qui s’y trouve est le même.
Unique est le pain qu’il rompit, sans limite,
unique la coupe qu’il mêla, sans fin.
Le grain qui fut semé pour trois jours
leva et remplit le grenier de la vie.
St Ephrem
Sur la nativité