La vigne véritable
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? ”
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie
“La vigne avait toujours été en honneur chez le peuple d’Israël, à cause de l’excellence de ses produits. Dieu, souvent, s’était servi de ce symbole de la vigne pour exprimer ses relations avec son peuple. Par les soins que le vigneron donne à sa vigne et l’amour qu’il lui porte, il avait dit l’amour et l’attention avec lesquels il s’était occupé de son peuple. Il s’était plaint qu’Israël, cette vigne si soigneusement cultivée, n’eût produit que des sauvageons.
Jésus-Christ se présente donc comme la vigne véritable qui donnera à Dieu les fruits qu’il attendait. En s’appelant la vraie vigne, il se sépare de cette vigne à qui il a été dit : Comment t’es-tu changée en amertume, o vigne mensongère ? “
La vigne a des racines profondes :
ainsi Jésus puise sa vie dans les profondeurs de la divinité.
(Th.M.Thiriet – op)
« Jésus, s’appelant la vigne, et appelant ses disciples les branches, se montre à nous comme le chef de l’Eglise et montre que nous sommes ses membres ; car la vigne et ses rejets sont de même nature. Pour établir cette unité, lui qui était Dieu, ce que nous n’étions pas, s’est fait ce que nous étions, c’est-à-dire homme, pour que nous pussions être entés en lui comme les rameaux dans la vigne. » (S. Augustin)
« La vigne ne parait rien d’elle-même: elle rampe, elle est raboteuse, tortueuse, faible, qui ne se peut élever qu’étant soutenue ; sans cela elle tombe. Mais aussi étant soutenue où ne s’élève-t-elle pas? Elle s’entortille autour des grands arbres ; elle a des bras, des mains pour les embrasser, et n’en peut plus être séparée.
De ce bois tordu et raboteux qui n’a rien de beau, sortent les pampres dont les montagnes sont couronnées, dont les hommes se font des festons. De là sort la fleur la plus odorante : de là la grappe, de là le raisin, de là le vin : ainsi l’écorce du chrétien n’a rien que de méprisable en apparence, et tout y paraît sans force : toute la force, toute la beauté est au-dedans ; et on peut tout, quand on ne s’élève qu’étant soutenu. » (Bossuet)
” Toute vigne qui n’est pas taillée, devient sauvage.”
Clément d’Alexandrie