Au jour de l’Ascension
« Pourquoi restez-vous là à regarder le ciel ?
Jésus qui a été enlevé du milieu de vous
reviendra de la même manière… »
Actes 1, 1-11
« Les Apôtres, au jour de l’Ascension, tandis qu’ils regardent vers le ciel atmosphérique, vers le ciel « matériel », pour y retrouver le Seigneur disparu, sont avertis de cesser cette attente.
Ils sont avertis finalement de retourner, ou plutôt de découvrir le ciel intérieur à eux-mêmes. C’est là le vrai Dieu.
C’est là qu’ils rencontreront leur Seigneur.
C’est la qu’Il les attend pour leur donner la plénitude de la Vie, pour les révéler à eux-mêmes, pour qu’ils connaissent leur propre visage dans le miroir de la Présence unique.
Et c’est le message de l’Ascension pour nous : ne pas regarder vers le ciel atmosphérique, retourner au Ciel intérieur.
C’est là la grande merveille, c’est là la source de toute connaissance et de toute grandeur, c’est là la racine de toute liberté et de toute inviolabilité, c’est là que le mystère de l’Eglise s’accomplit dans le mariage d’amour avec Dieu. Il n’y a donc rien que nous ne puissions demander avec plus d’instance que la grâce du silence et du recueillement, la grâce d’un regard intérieur sur toutes choses, un regard qui passe par le regard de Dieu, un regard qui se nourrit de Sa Présence. »
M.Zundel Matarieh 1971
« En mourant, il nous a appris à ne plus craindre la mort ;
en ressuscitant il nous a appris à croire à la vie ;
et en montant au ciel il nous apprend à mettre nos joies
dans notre héritage céleste. »
(S. Grégoire)
« Pourquoi restez-vous là à regarder le ciel ?
Jésus qui a été enlevé du milieu de vous
reviendra de la même manière… »
Actes 1, 1-11
« Les Apôtres, au jour de l’Ascension, tandis qu’ils regardent vers le ciel atmosphérique, vers le ciel « matériel », pour y retrouver le Seigneur disparu, sont avertis de cesser cette attente.
Ils sont avertis finalement de retourner, ou plutôt de découvrir le ciel intérieur à eux-mêmes. C’est là le vrai Dieu.
C’est là qu’ils rencontreront leur Seigneur.
C’est la qu’Il les attend pour leur donner la plénitude de la Vie, pour les révéler à eux-mêmes, pour qu’ils connaissent leur propre visage dans le miroir de la Présence unique.
Et c’est le message de l’Ascension pour nous : ne pas regarder vers le ciel atmosphérique, retourner au Ciel intérieur.
C’est là la grande merveille, c’est là la source de toute connaissance et de toute grandeur, c’est là la racine de toute liberté et de toute inviolabilité, c’est là que le mystère de l’Eglise s’accomplit dans le mariage d’amour avec Dieu. Il n’y a donc rien que nous ne puissions demander avec plus d’instance que la grâce du silence et du recueillement, la grâce d’un regard intérieur sur toutes choses, un regard qui passe par le regard de Dieu, un regard qui se nourrit de Sa Présence. »
M.Zundel Matarieh 1971
« En mourant, il nous a appris à ne plus craindre la mort ;
en ressuscitant il nous a appris à croire à la vie ;
et en montant au ciel il nous apprend à mettre nos joies
dans notre héritage céleste. »
(S. Grégoire)
« Pourquoi restez-vous là à regarder le ciel ?
Jésus qui a été enlevé du milieu de vous
reviendra de la même manière… »
Actes 1, 1-11
« Les Apôtres, au jour de l’Ascension, tandis qu’ils regardent vers le ciel atmosphérique, vers le ciel « matériel », pour y retrouver le Seigneur disparu, sont avertis de cesser cette attente.
Ils sont avertis finalement de retourner, ou plutôt de découvrir le ciel intérieur à eux-mêmes. C’est là le vrai Dieu.
C’est là qu’ils rencontreront leur Seigneur.
C’est la qu’Il les attend pour leur donner la plénitude de la Vie, pour les révéler à eux-mêmes, pour qu’ils connaissent leur propre visage dans le miroir de la Présence unique.
Et c’est le message de l’Ascension pour nous : ne pas regarder vers le ciel atmosphérique, retourner au Ciel intérieur.
C’est là la grande merveille, c’est là la source de toute connaissance et de toute grandeur, c’est là la racine de toute liberté et de toute inviolabilité, c’est là que le mystère de l’Eglise s’accomplit dans le mariage d’amour avec Dieu.
Il n’y a donc rien que nous ne puissions demander avec plus d’instance que la grâce du silence et du recueillement, la grâce d’un regard intérieur sur toutes choses, un regard qui passe par le regard de Dieu, un regard qui se nourrit de Sa Présence. »
M.Zundel Matarieh 1971