En faisant silence, nous apprendrons à percevoir comment “les cieux racontent la gloire de Dieu et le firmament annonce l’ouvrage de ses mains” (Ps 19,1)…
Pour saint Grégoire, nous pouvons discerner la présence de Dieu simplement en contemplant ou en écoutant la création. La nature est de la sorte un livre grand-ouvert à tous et dans lequel tous peuvent lire et apprendre.
Chaque plante, chaque animal, chaque organisme microscopique dévoile un récit, déploie un secret, dénote une extraordinaire cohérence et élégance qui sont interdépendants et complémentaires. Tout converge vers la même rencontre et le même mystère.
Le même flux de communication et prodige de communion se découvre dans les galaxies où les myriades d’étoiles laissent également voir la même beauté mystique et le même ordre mathématique de l’interrelation…. la coexistence et la corrélation dans notre monde entre l’infini sans limite et la pus insignifiante des choses finies tissent une concélébration de joie et d’amour…
Patriarche Bartholomée
“Et Dieu vit que cela était bon”
Ed du Cerf – p:11,12-13
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