Vie Contemplative – Sainte Famille de Bordeaux

Bénir, je te bénirai

Vitrai Jésus bénissant - sfb Oharriz

« Je jure par Moi-même, parole de l’Eternel, que parce que tu as fait cette chose-là, tu n’as pas refusé ton fils, ton unique, que bénir Je te bénirai, et multiplier Je multiplierai ta descendance comme les étoiles des cieux et comme le sable qui [est] sur le bord de la mer. Et ta descendance héritera de la porte de ses ennemis. Et seront bénies par ta descendance toutes les nations de la terre, parce que tu as écouté ma voix. » (Gn 22,16-18)
Pour sa foi et son total abandon à sa Parole, Dieu promet à Abraham sa bénédiction (bénir) et de multiplier sa descendance qui sera à son tour source de bénédiction pour toutes les nations de la terre (je te bénirai).
Nous pouvons lire, aujourd’hui, l’événement de la Bénédiction miraculeuse du 3 février 1822, à la lumière de la Parole du Seigneur « bénir, je te bénirai ».
Détaché de lui-même et de toutes choses, le Père Noailles, à l’exemple de Jésus, Marie et Joseph, ne cherchait, ne voulait, ne désirait que l‘accomplissement de la volonté divine en toutes choses. N’écrivat-il :pas« L’obéissance: il est impossible de l’accomplir sans la foi ».
Homme de foi, toute la vie du Père Noailles a été centrée en Dieu, particulièrement lors des épreuves, des incompréhensions, des maladies ; homme de cœur, cette réalité se traduisait par son amour inconditionnel de Dieu, de l’Eglise et du prochain ; homme d’espérance, il ne désespérait d’aucune situation ni de personne.
« Qu’ils soient Un » (Jn 17,21). Dans ce but, le Père Noailles a voulu rassembler « tous les chrétiens qui désirent prier et travailler ensemble…. quelle que soit la distance qui les sépare dans le monde. » (P.B Noailles) en une seule et même Famille spirituelle aux diverses vocations, cultures, langues… Vaste projet qui en ses début a rencontré des difficultés, des méfiances, des critiques… Les premiers temps ont été des temps de grande pauvreté et de total abandon à la providence.
C’est dans ce contexte que le 3 février 1822, « la miséricorde de Dieu incarnée »[1], s’est donnée à voir en son corps eucharistique, à la petite communauté chrétienne réunie dans l’humble chapelle de la rue Mazarin à Bordeaux. Son regard s’est posé sur toute l’assemblée et sur chacun/chacune, Il a étendu sa bénédiction : sur le prêtre, sur l’enfant de chœur, sur nos premières sœurs, sur les orphelines … tous réunis pour la prière du Salut du Saint Sacrement.
Dans la Bible, l’acte de bénir se manifeste par la parole et par le geste. Il en a été ainsi été lors de l’apparition miraculeuse du Seigneur.
«... j’exposai le Saint Sacrement; mais à peine avais-je terminé le premier encensement, qu’ayant porté les yeux sur l’Ostensoir, je n’aperçus plus les saintes Espèces que j’y avais placées; mais au lieu des apparences sous lesquelles Notre-Seigneur daigne se cacher, je le vis lui-même au milieu du cercle qui lui servait de cadre comme un portrait peint en buste, avec cette différence que la personne paraissait vivante ».[2]
Et sa Parole a été entendue par Milady Peychaud au plus profond du cœur : « Je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois.Les honneurs et l’estime des hommes ne sont que de la fumée. Et je suis Celui qui suis. Leur amitié n’est que de la poussière. Et je suis Celui qui suis. Les richesses et les plaisirs ne sont que de la boue; Et je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois ».[3]
La parole « bénédiction » se compose de deux mots : « bien » et « dire ». Nous croyons que par sa bénédiction, le Seigneur a dit du bien de l’œuvre de notre Vénérable Fondateur, en ses commencements. Nous croyons que le Seigneur a adressé au Bon Père – quoique absent ce jour-là – une parole efficace pour le présent de son œuvre et pour son devenir. « Bénir, je te bénirai »… c’est à dire une foi pour toi et une fois pour toute ton œuvre !
La bénédiction miraculeuse a été pour le Père Noailles, pour ses premières collaboratrices, signe d’amour, d’acceptation, présage de fécondité et de développement, non seulement pour l’œuvre naissante mais encore plus particulièrement pour l’esprit du Charisme qui l’anime. Depuis ce jour, la Famille spirituelle de Pierre Bienvenu Noailles, répartie en 24 pays, sur quatre continents, demeure à l’ombre de la bénédiction du Seigneur et reçoit d’elle force et encouragement.
Dans la diversité de nos vocations Sainte-Famille, nous sommes appelés à être porteurs des fruits de cette bénédiction en tout lieu et tout milieu. Elle est un souhait pour l’avenir et une grâce pour ce qui a été reçu et donné gratuitement. Un regard, un sourire, une poignée de main, une accolade, quelques mots… peuvent être une façon de communiquer, consciemment ou inconsciemment, la bénédiction reçue du Seigneur. Nous sommes appelés à être, entre nous et autour de nous, « la miséricorde de Dieu incarnée ».
[1] Pape François
[2] Témoignage de l’Abbé Delort
[3] Attestation de Milady Peychaud

« Je jure par Moi-même, parole de l’Eternel, que parce que tu as fait cette chose-là, tu n’as pas refusé ton fils, ton unique, que bénir Je te bénirai, et multiplier Je multiplierai ta descendance comme les étoiles des cieux et comme le sable qui [est] sur le bord de la mer. Et ta descendance héritera de la porte de ses ennemis. Et seront bénies par ta descendance toutes les nations de la terre, parce que tu as écouté ma voix. » (Gn 22,16-18)

Pour sa foi et son total abandon à sa Parole, Dieu promet à Abraham sa bénédiction (bénir) et de multiplier sa descendance qui sera à son tour source de bénédiction pour toutes les nations de la terre (je te bénirai).

Nous pouvons lire, aujourd’hui, l’événement de la Bénédiction miraculeuse du 3 février 1822, à la lumière de la Parole du Seigneur « bénir, je te bénirai ».

Détaché de lui-même et de toutes choses, le Père Noailles, à l’exemple de Jésus, Marie et Joseph, ne cherchait, ne voulait, ne désirait que l‘accomplissement de la volonté divine en toutes choses. N’écrivat-il :pas« L’obéissance: il est impossible de l’accomplir sans la foi ».

Homme de foi, toute la vie du Père Noailles a été centrée en Dieu, particulièrement lors des épreuves, des incompréhensions, des maladies ; homme de cœur, cette réalité se traduisait par son amour inconditionnel de Dieu, de l’Eglise et du prochain ; homme d’espérance, il ne désespère d’aucune situation ni de personne.

« Qu’ils soient Un » (Jn 17,21). Dans ce but, le Père Noailles a voulu rassembler « tous les chrétiens qui désirent prier et travailler ensemble…. quelle que soit la distance qui les sépare dans le monde. » (P.B Noailles) en une seule et même Famille spirituelle aux diverses vocations, cultures, langues… Vaste projet qui en ses début a rencontré des difficultés, des méfiances, des critiques… Les premiers temps ont été des temps de grande pauvreté et de total abandon à la providence.

C’est dans ce contexte que le 3 février 1822, « la miséricorde de Dieu incarnée »[1], s’est donnée à voir en son corps eucharistique, à la petite communauté chrétienne réunie dans l’humble chapelle de la rue Mazarin à Bordeaux. Son regard s’est posé sur toute l’assemblée et sur chacun/chacune, Il a étendu sa bénédiction : sur le prêtre, sur l’enfant de chœur, sur nos premières sœurs, sur les orphelines … tous réunis pour la prière du Salut du Saint Sacrement.

Dans la Bible, l’acte de bénir se manifeste par la parole et par le geste. Il en a été ainsi été lors de l’apparition miraculeuse du Seigneur.

«… j’exposai le Saint Sacrement; mais à peine avais-je terminé le premier encensement, qu’ayant porté les yeux sur l’Ostensoir, je n’aperçus plus les saintes Espèces que j’y avais placées; mais au lieu des apparences sous lesquelles Notre-Seigneur daigne se cacher, je le vis lui-même au milieu du cercle qui lui servait de cadre comme un portrait peint en buste, avec cette différence que la personne paraissait vivante.[2]

Et sa Parole a été entendue par Milady Peychaud au plus profond du cœur : « Je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois.Les honneurs et l’estime des hommes ne sont que de la fumée. Et je suis Celui qui suis. Leur amitié n’est que de la poussière. Et je suis Celui qui suis. Les richesses et les plaisirs ne sont que de la boue; Et je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois ».[3]

La parole « bénédiction » se compose de deux mots : « bien » et « dire ». Nous croyons que par sa bénédiction, le Seigneur a dit du bien de l’œuvre de notre Vénérable Fondateur, en ses commencements. Nous croyons que le Seigneur a adressé au Bon Père – quoique absent ce jour-là – une parole efficace pour le présent de son œuvre et pour son devenir. « Bénir, je te bénirai »… c’est à dire une foi pour toi et une fois pour toute ton œuvre !

La bénédiction miraculeuse a été pour le Père Noailles, pour ses premières collaboratrices, signe d’amour, d’acceptation, présage de fécondité et de développement, non seulement pour l’œuvre naissante mais encore plus particulièrement pour l’esprit du Charisme qui l’anime. Depuis ce jour, la Famille spirituelle de Pierre Bienvenu Noailles, répartie en 24 pays, sur quatre continents, demeure à l’ombre de la bénédiction du Seigneur et reçoit d’elle force et encouragement.

Dans la diversité de nos vocations Sainte-Famille, nous sommes appelés à être porteurs des fruits de cette bénédiction en tout lieu et tout milieu. Elle est un souhait pour l’avenir et une grâce pour ce qui a été reçu et donné gratuitement. Un regard, un sourire, une poignée de main, une accolade, quelques mots… peuvent être une façon de communiquer, consciemment ou inconsciemment, la bénédiction reçue du Seigneur. Nous sommes appelés à être, entre nous et autour de nous, « la miséricorde de Dieu incarnée ».

[1] Pape François
[2] Témoignage de l’Abbé Delort
[3] Attestation de Milady Peychaud

« Je jure par Moi-même, parole de l’Eternel, que parce que tu as fait cette chose-là, tu n’as pas refusé ton fils, ton unique, que bénir Je te bénirai, et multiplier Je multiplierai ta descendance comme les étoiles des cieux et comme le sable qui [est] sur le bord de la mer. Et ta descendance héritera de la porte de ses ennemis. Et seront bénies par ta descendance toutes les nations de la terre, parce que tu as écouté ma voix. » (Gn 22,16-18)

Pour sa foi et son total abandon à sa Parole, Dieu promet à Abraham sa bénédiction (bénir) et de multiplier sa descendance qui sera à son tour source de bénédiction pour toutes les nations de la terre (je te bénirai).

Nous pouvons lire, aujourd’hui, l’événement de la Bénédiction miraculeuse du 3 février 1822, à la lumière de la Parole du Seigneur « bénir, je te bénirai ».

Détaché de lui-même et de toutes choses, le Père Noailles, à l’exemple de Jésus, Marie et Joseph, ne cherchait, ne voulait, ne désirait que l‘accomplissement de la volonté divine en toutes choses. N’écrivat-il :pas« L’obéissance: il est impossible de l’accomplir sans la foi ».

Homme de foi, toute la vie du Père Noailles a été centrée en Dieu, particulièrement lors des épreuves, des incompréhensions, des maladies ; homme de cœur, cette réalité se traduisait par son amour inconditionnel de Dieu, de l’Eglise et du prochain ; homme d’espérance, il ne désespère d’aucune situation ni de personne.

« Qu’ils soient Un » (Jn 17,21). Dans ce but, le Père Noailles a voulu rassembler « tous les chrétiens qui désirent prier et travailler ensemble…. quelle que soit la distance qui les sépare dans le monde. » (P.B Noailles) en une seule et même Famille spirituelle aux diverses vocations, cultures, langues… Vaste projet qui en ses début a rencontré des difficultés, des méfiances, des critiques… Les premiers temps ont été des temps de grande pauvreté et de total abandon à la providence.

C’est dans ce contexte que le 3 février 1822, « la miséricorde de Dieu incarnée »[1], s’est donnée à voir en son corps eucharistique, à la petite communauté chrétienne réunie dans l’humble chapelle de la rue Mazarin à Bordeaux. Son regard s’est posé sur toute l’assemblée et sur chacun/chacune, Il a étendu sa bénédiction : sur le prêtre, sur l’enfant de chœur, sur nos premières sœurs, sur les orphelines … tous réunis pour la prière du Salut du Saint Sacrement.

Dans la Bible, l’acte de bénir se manifeste par la parole et par le geste. Il en a été ainsi été lors de l’apparition miraculeuse du Seigneur.

«… j’exposai le Saint Sacrement; mais à peine avais-je terminé le premier encensement, qu’ayant porté les yeux sur l’Ostensoir, je n’aperçus plus les saintes Espèces que j’y avais placées; mais au lieu des apparences sous lesquelles Notre-Seigneur daigne se cacher, je le vis lui-même au milieu du cercle qui lui servait de cadre comme un portrait peint en buste, avec cette différence que la personne paraissait vivante.[2]

Et sa Parole a été entendue par Milady Peychaud au plus profond du cœur : « Je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois.Les honneurs et l’estime des hommes ne sont que de la fumée. Et je suis Celui qui suis. Leur amitié n’est que de la poussière. Et je suis Celui qui suis. Les richesses et les plaisirs ne sont que de la boue; Et je suis Celui qui suis et il n’y a que moi qui sois ».[3]

La parole « bénédiction » se compose de deux mots : « bien » et « dire ». Nous croyons que par sa bénédiction, le Seigneur a dit du bien de l’œuvre de notre Vénérable Fondateur, en ses commencements. Nous croyons que le Seigneur a adressé au Bon Père – quoique absent ce jour-là – une parole efficace pour le présent de son œuvre et pour son devenir. « Bénir, je te bénirai »… c’est à dire une foi pour toi et une fois pour toute ton œuvre !

La bénédiction miraculeuse a été pour le Père Noailles, pour ses premières collaboratrices, signe d’amour, d’acceptation, présage de fécondité et de développement, non seulement pour l’œuvre naissante mais encore plus particulièrement pour l’esprit du Charisme qui l’anime. Depuis ce jour, la Famille spirituelle de Pierre Bienvenu Noailles, répartie en 24 pays, sur quatre continents, demeure à l’ombre de la bénédiction du Seigneur et reçoit d’elle force et encouragement.

Dans la diversité de nos vocations Sainte-Famille, nous sommes appelés à être porteurs des fruits de cette bénédiction en tout lieu et tout milieu. Elle est un souhait pour l’avenir et une grâce pour ce qui a été reçu et donné gratuitement. Un regard, un sourire, une poignée de main, une accolade, quelques mots… peuvent être une façon de communiquer, consciemment ou inconsciemment, la bénédiction reçue du Seigneur. Nous sommes appelés à être, entre nous et autour de nous, « la miséricorde de Dieu incarnée ».

[1] Pape François
[2] Témoignage de l’Abbé Delort
[3] Attestation de Milady Peychaud

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