20090901
Que n’ai-je pour vous, ô mon Dieu,
un cœur semblable à celui des saints de votre Ancien Testament !
Que ne puis-je vous désirer avec l’ardeur des Patriarches,
vous connaître et vous révérer comme les Prophètes,
vous aimer et m’attacher uniquement à vous comme les Apôtres ! » (F de la Mothe-Fénelon )