Vie Contemplative – Sainte Famille de Bordeaux

Archives March 2012

Ma confiance en Dieu

 

J’ai décidé de mettre ma confiance en Dieu,
quoi que je sois, où que je sois.
Il ne pourra jamais me rejeter.
Si je suis malade, ma maladie peut le servir ;
si je suis anxieux, mon anxiété peut le servir ;
si je suis triste, ma tristesse peut le servir.
Il ne fait en vain, il sait ce qu’il fait ;
il se peut qu’il m’enlève mes amis,
qu’il me jette parmi des inconnus ;
qu’il me plonge dans la désolation,
qu’il laisse tomber ma force d’âme,
qu’il me cache mon avenir.
Même alors, il sait ce qu’il fait.
Newman

 

J’ai décidé de mettre ma confiance en Dieu,
quoi que je sois, où que je sois.
Il ne pourra jamais me rejeter.
Si je suis malade, ma maladie peut le servir ;
si je suis anxieux, mon anxiété peut le servir ;
si je suis triste, ma tristesse peut le servir.
Il ne fait en vain, il sait ce qu’il fait ;
il se peut qu’il m’enlève mes amis,
qu’il me jette parmi des inconnus ;
qu’il me plonge dans la désolation,
qu’il laisse tomber ma force d’âme,
qu’il me cache mon avenir.
Même alors, il sait ce qu’il fait.
Newman

 

J’ai décidé de mettre ma confiance en Dieu,
quoi que je sois, où que je sois.
Il ne pourra jamais me rejeter.
Si je suis malade, ma maladie peut le servir ;
si je suis anxieux, mon anxiété peut le servir ;
si je suis triste, ma tristesse peut le servir.
Il ne fait en vain, il sait ce qu’il fait ;
il se peut qu’il m’enlève mes amis,
qu’il me jette parmi des inconnus ;
qu’il me plonge dans la désolation,
qu’il laisse tomber ma force d’âme,
qu’il me cache mon avenir.
Même alors, il sait ce qu’il fait.
Newman

 

J’ai décidé de mettre ma confiance en Dieu,
quoi que je sois, où que je sois.
Il ne pourra jamais me rejeter.
Si je suis malade, ma maladie peut le servir ;
si je suis anxieux, mon anxiété peut le servir ;
si je suis triste, ma tristesse peut le servir.
Il ne fait en vain, il sait ce qu’il fait ;
il se peut qu’il m’enlève mes amis,
qu’il me jette parmi des inconnus ;
qu’il me plonge dans la désolation,
qu’il laisse tomber ma force d’âme,
qu’il me cache mon avenir.
Même alors, il sait ce qu’il fait.
Newman

 

J’ai décidé de mettre ma confiance en Dieu,
quoi que je sois, où que je sois.
Il ne pourra jamais me rejeter.
Si je suis malade, ma maladie peut le servir ;
si je suis anxieux, mon anxiété peut le servir ;
si je suis triste, ma tristesse peut le servir.
Il ne fait rien en vain, il sait ce qu’il fait ;
il se peut qu’il m’enlève mes amis,
qu’il me jette parmi des inconnus ;
qu’il me plonge dans la désolation,
qu’il laisse tomber ma force d’âme,
qu’il me cache mon avenir.
Même alors, il sait ce qu’il fait.
Newman

 

Catégories: Méditations | 23/03/2012

20120323

Seigneur, dans ce monde
où le besoin et l’abondance se côtoient,
où le faible  est toujours opprimé,
Tu veux que tout change.

Donne-nous ton Esprit
de service et de respect.

Rends-nous tenances et inventifs
dans notre soucis de justice et de paix,
confiants en notre humanité et son avenir.

 

Catégories: Prières | 23/03/2012

20120322

Répands ta vie
Seigneur Jésus
dans l’humanité tout entière

pour qu’un jour
nous soyons tous réunis
autour de toi.

 

Catégories: Prières | 22/03/2012

Les couleurs de la vie

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents, L’un en Afrique, l’autre au Pakistan, Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang, Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie, du jaune pour leur soleil car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva. Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur. C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Deux amis dans deux endroits différents,
L’un en Afrique, l’autre au Pakistan,
Tous deux de couleur mais différents surtout de cœur.
Leur pays était rouge, rouge comme le sang,
Leur cœur était blanc comme  l’innocence.
Ils cherchent tous deux du bleu dans leur vie,
du jaune pour leur soleil
car ils ne connaissent que le noir de l’ennui.
Mais un jour, un Espoir arriva.
Il avait la couleur de la vie et tout s’éclaira dans leur cœur.
C’était le vert de l’Espérance et du Bonheur.
Texte de Dominique  – 1981

 

Catégories: Lu ailleurs | 22/03/2012

20120321

Seigneur Jésus,
Tu nous as demandé
de nous aimer
les uns les autres.

Remplis toi-même
nos coeurs
de délicatesse et de prévenance,
de bonté et de miséricorde,

Toi qui règnes éternellement. Amen.

Catégories: Prières | 21/03/2012

Que faites-vous grand-mère?

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
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Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

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Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
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Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
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Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
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D’après le Père Gorrée 

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Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.


“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…

Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…

Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avec eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.

Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“

Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”

D’après le Père Gorrée 

 

Catégories: Lu ailleurs | 20/03/2012

20120320

Dieu de l’univers,
sur d’autre continents où brille ton soleil,
des hommes et des femmes te cherchent.

Nous ne les connaissons pas mais ils sont nos frères et nos soeurs.

Nous te prions pour eux
par Jésus, le Christ Notre Seigneur.

Catégories: Prières | 20/03/2012

20120319

St Joseph soyez notre guide et notre protecteur comme vous avez été celui de la Sainte Famille.

Communiquez-nous  votre foi, votre obéissance, votre mortification et surtout votre amour pour Jésus et Marie. (P.B Noailles)

 

Catégories: Prières | 19/03/2012

A Nazareth…et Il leur était soumis

Il descendit avec eux à Nazareth

“Nazareth, séjour mille et mille fois béni qui semble une nuit au sens humain, mais qui brille pour la foi et surtout pour l’amour, comme un jour plus radieux que celui qui naît du soleil, printemps de la vie de Jésus, temps de sa paix, qui dira tous tes charmes ? Mieux vaut demeurer en toi,

Nazareth, fut-ce un jour ou une heure, que de rentrer pour y demeurer toujours au paradis terrestre… rien ne ressemble comme toi à un tabernacle. Tu es un jardin, ô ville des fleurs, le jardin de l’époux du Cantique. Tu es une retraite, un foyer, un festin : tu donnes à savourer la manne cachée de l’Eglise. ” (Mgr C.Gay – Elévation sur la Vie et la Doctrine de Notre Seigneur Jesus-Christ)


Et il leur était soumis.

« Quel est celui qui se soumet?  A qui se soumet-il? C’est un Dieu qui se soumet à des créatures. Oui, ce Dieu à qui les Anges sont soumis, à qui les Principautés et les Puissances obéissent, était soumis à Marie, et non seulement à Marie, mais encore à Joseph à cause de Marie. » (S. Bernard)

“Jésus obéissait à Joseph et à Marie, parce que tel était l’ordre établi par Dieu ; parce que Joseph et Marie avaient été investis de l’autorité de Dieu : parce que cette autorité, dont ils étaient revêtus, mettait sur eux un reflet de Dieu…

En obéissant à Joseph et à Marie à cause de son Père, en montrant l’obéissance comme ayant un mérite particulier, Jésus anoblissait l’obéissance et relevait l’autorité. Car c’était à son Père qu’il obéissait en obéissant à Joseph, ” le juste qui se trouve à la croisée des chemins entre l’Ancien et le Nouveau Testament ” (F.Manns)

Jésus eu s’abaissant relève tout : il relève l’obéissance, il relève, l’autorité : il nous apprend  à grandir en obéissant, et à ne point  nous exalter en commandant. Dans sa vie cachée à Nazareth, Il  nous apprend à obéir. L’obéissance est nécessaire à l’être humain…

Jésus nous invite à obéir avec lui, non pour nous faire descendre, mais pour nous faire monter. Par son obéissance, il a relevé l’autorité de ceux qui commandent, après avoir relevé l’acte de ceux qui obéissent.”  (P. Thiriet – op – 1905)

 

Catégories: Méditations | 19/03/2012

Dieu a tant aimé le monde

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)

L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils  unique.

“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)

“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.”  (St J. Chrysostôme)

Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)

“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)

“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder,  de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)

Quand la  lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)

“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)

“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le monde est appelé. Tout le monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)

Catégories: Méditations | 18/03/2012

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