Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
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Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
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Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
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immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.”
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avecv eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Interview d’une vieille dame impotente,
immobilisée dans un hospice.
“Que faites-vous, grand-mère, durant les longues heures de la nuit?”
– Je voyage…
Par la pensée, je parcours le monde, du plus proche au plus lointain. Mes voisines de salle que j’entends gémir, les infirmières qui font la ronde, toute la vie douloureuse de l’hospice qui ne s’arrête pas la nuit…
Puis, en esprit, je saute le mur: ces rues, ces maions, avec leurs habitants. Il y a ceux qui naissent et ceux qui meurent…
Il y a ces ménages désunis, des enfants malheureux, des mères inquiètes, des pécheurs qui offensent Dieu, des travailleurs attardés sous la lampe…
Je pense à ceux qui travaillent la nuit dans les usines, et à ceux de la terre accablés de fatigue, et que la première lueur de l’aube arrachera au repos.
Je pense à ceux qui assurent la marche des trains, des bateaux, des avions. Avec eux je franchis les crontières et les Océans…
Je suis tantôt avec les habitants du pôle dans leur maison de neige, tantôt avec les noirs d’Afrique dans leurs cases…
Je suis avec ceux qui souffrent persécution, avec les voyageurs dans le désert, avec les détenus dans leurs prisons.
Partout des millions et des millions d’être humains, si différents de moi et pourtant, comme moi, créés à l’image de Dieu, rachetés par Jésus-Christ.
Tous ces gens que je ne vois pas, que je ne connaîtrai jamais, ce sont mes frères, mes frères qui ont besoin de moi.
Quand j’ai bien réfléchi à tout cela, je récite le Pater; alors quel sens nouveau prennent ces paroles: “Que votre Règne arrive.“
Seule? Allons donc! ma famille est immense.
Immobile? mais non! je touche jusqu’aux extrémités de la Terre.
Inutile? Je ne crois pas! Il y a tant de travail
pour que le Règne de Dieu arrive!”
D’après le Père Gorrée
Catégories: Lu ailleurs | 20/03/2012
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” ‘St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le onde est appelé. Tout e monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique. (Jn 3,16)
L’oeuvre de l’Incarnation et de la Rédemption est une oeuvre d’amour: Dieu est amour, et son amour, il nous l’a manifesté dans une mesure infinie: Dieu a tant aimé le monde qu’il lui a donné son Fils unique.
“L’amour se mesure par ses dons; l’amour de Dieu a été jusqu’au don de son Fils, de son propre Fils, de son Fis unique.” (St Hilaire)
“Il a donné non un serviteur, ni un ange, il a donné son Fils. Aussi Jésus ne dit plus ici le fils de l’homme, mais le fils unique de Dieu.” (St J. Chrysostôme)
Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé. (Jn 3,17)
“C’est pour cela que son nom est celui de Sauveur”
(St Augustin)
“C’est pourquoi la liturgie nous demande de tourner nos yeux vers le Seigneur, de regarder, de Le regarder et de demeurer suspendus dans ce regard pour que notre religion soit aujourd’hui quelque chose de jaillissant, de créateur et d’essentiellement nouveau. (M.Zundel)
Quand la lumière est venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière… (Jn 3,19)
“On aime la vérité qui ne fait que briller
mais on hait la vérité quand elle accuse.”
(St Augustin)
“Nous voyons que toute la perspective se renverse: tout le monde est appelé. Tout le monde est élu par Dieu. C’est Dieu qui n’est pas élu par les hommes. C’est Dieu qui est rejeté. C’est Dieu qui est abandonné. C’est Dieu qui est en exil. C’est Dieu qui est condamné. C’est Dieu qui est refusé et tué.” (M.Zundel)
Catégories: Méditations | 18/03/2012