20130313
O Seigneur,
sans limites
est l’abondance de la bonté
que tu tiens
en réserve
pour ceux qui te craignent!
(G.d’Igny)
Que ta bonté, soit bénie,
ô Dieu, de toute tendresse!
Archives March 2013
O Seigneur,
sans limites
est l’abondance de la bonté
que tu tiens
en réserve
pour ceux qui te craignent!
(G.d’Igny)
Que ta bonté, soit bénie,
ô Dieu, de toute tendresse!
Seigneur notre Dieu,
gloire à ta compassion,
à ta miséricorde,
à ton amour!
A Toi la gloire dans les siècles.
Amen.
(cf. Macaire le Grand)
Gloire et adoration
au Père immaculé,
au Fils
et au Saint Esprit
dans les siècles.
Amen.
(Macaire le Grand)
Seigneur notre Dieu
fais-nous la grâce
de savoir nous attacher
à la prière et à l’humilité,
ainsi nous vivrons
dans le mystère,
et dans la joie,
une fête du coeur.
(cf.H de Batos)
« Je me lèverai et j’irai chez mon Père » : celui qui dit ces paroles gisait à terre. Il prend conscience de sa chute, il se rend compte de sa ruine, il se voit enlisé dans le péché et il s’crie : « je me lèverai et j’irai chez mon père ».
D’où lui vient cet espoir, cette assurance, cette confiance ? Du fait même qu’il s’agit de son père.
« J’ai perdu, se dit-il ma qualité de fils ; mais lui n’a pas perdu celle de père. Il n’est point besoin d’un étranger pour intercéder auprès d’un père ; c’est l’affection même de celui qui intervient et qui supplie au plus profond de son cœur. Ses entrailles paternelles le pressent d’engendrer de nouveau son fils par le pardon. Coupable j’irai donc chez mon père. »
Et le père à la vue de son fils, voile immédiatement sa faute. A son rôle de juge, il préfère celui de père. Il transforme tout de suite la sentence en pardon, lui qui désire le retour du fils et non sa perte…
« Il se jeta à son cou et l’embrassa » : voilà comment le père juge et corrige : il donne un baiser au lieu d’un châtiment.
La force de l’amour ne tient pas compte du péché, et c’est pourquoi le Père remet d’un baiser la faute de son fils. Le père ne dévoile pas le péché de son enfant, il ne flétrit pas son fils, il soigne ses blessures de sorte qu’elles ne laissent aucune cicatrice, aucun déshonneur. « Heureux ceux dont la faute est ainsi remise et le péché pardonné. » (Ps 32,1)
Seigneur nous avons peur
d’être dépossédés.
Croire
c’est apprendre de toi
à tout perdre
pour nous laisser recréer par toi.
Nous te louons
et te rendons grâce!
Seigneur Dieu,
peuple d’hier,
peuple d’aujourd’hui,
nous serons toujours ton peuple
en marche.
Que ce Carême soit un temps vécu
dans l’allégresse du désir
de la Pâque du Christ Jésus!
Seigneur Jésus,
donne-nous la force de résister
contre tous les non-sens:
non-sens du travail
sans signification,
non-sens du loisir
sans but,
non-sens de l’oubli
de la vie familiale,
non-sens du refus
de la vie sociale.
Apprends-nous,
à construire un monde
vraiment humain.