[:en]Jésus, vous que j’aime, daignez écouter mes chants.
Ce que j’aime dans les bous, les vallons, les ruisseaux, les rochers, les champs, les prairies,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans les fleuves, les montagnes, les forêts, les déserts,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans l’immensité des mers, dans l’horizon sans bornes, dans la multitude des étoiles, dans les grains de sable du rivage,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans le chant du rossignol, dans la variété et le parfum des fleurs, dans la brise du soir, dans le murmure du vent,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans les sciences, dans les merveilles de la nature, les prodiges de l’art, les efforts du génie, l’éclat du soleil, la beauté des astres, le calme de la nuit, le bruit du tonnerre,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans la mouse, le vermisseau, la goutte de rosée, le fil de la Vierge, l’herbe des champs,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans la vertu, le recueillement, la prière, le dévouement, la croix, le sacrifice,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans l’affliction, les larmes, la douleur, l’humble résignation, la douce et mélancolique abnégation,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans l’exil, le martyre, la mort, la tombe, l’éternité,
C’est vous Seigneur, et toujours vous, Seigneur.
Amen.
Rita Bonnat
[:es]Jésus, vous que j’aime, daignez écouter mes chants.
Ce que j’aime dans les bous, les vallons, les ruisseaux, les rochers, les champs, les prairies,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans les fleuves, les montagnes, les forêts, les déserts,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans l’immensité des mers, dans l’horizon sans bornes, dans la multitude des étoiles, dans les grains de sable du rivage,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans le chant du rossignol, dans la variété et le parfum des fleurs, dans la brise du soir, dans le murmure du vent,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans les sciences, dans les merveilles de la nature, les prodiges de l’art, les efforts du génie, l’éclat du soleil, la beauté des astres, le calme de la nuit, le bruit du tonnerre,
C’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime dans la mouse, le vermisseau, la goutte de rosée, le fil de la Vierge, l’herbe des champs,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans la vertu, le recueillement, la prière, le dévouement, la croix, le sacrifice,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans l’affliction, les larmes, la douleur, l’humble résignation, la douce et mélancolique abnégation,
C’est vous Seigneur.
Ce que j’aime dans l’exil, le martyre, la mort, la tombe, l’éternité,
C’est vous Seigneur, et toujours vous, Seigneur.
Amen.
Rita Bonnat
[:fr]
Jésus, vous que j’aime, daignez écouter mes chants.
Ce que j’aime
dans les bois, les vallons, les ruisseaux, les rochers, les champs, les prairies, c’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime
dans les fleuves, les montagnes, les forêts, les déserts, c’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime
dans l’immensité des mers, dans l’horizon sans bornes, dans la multitude des étoiles, dans les grains de sable du rivage, c’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime
dans le chant du rossignol, dans la variété et le parfum des fleurs, dans la brise du soir, dans le murmure du vent, c’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime
dans les sciences, dans les merveilles de la nature, les prodiges de l’art, les efforts du génie, l’éclat du soleil, la beauté des astres, le calme de la nuit, le bruit du tonnerre, c’est vous, Seigneur.
Ce que j’aime
dans la mousse, le vermisseau, la goutte de rosée, le fil de la Vierge, l’herbe des champs, c’est vous Seigneur.
Ce que j’aime
dans la vertu, le recueillement, la prière, le dévouement, la croix, le sacrifice, c’est vous Seigneur.
Ce que j’aime
dans l’affliction, les larmes, la douleur, l’humble résignation, la douce et mélancolique abnégation, c’est vous Seigneur.
Ce que j’aime
dans l’exil, le martyre, la mort, la tombe, l’éternité, c’est vous Seigneur, et toujours vous, Seigneur. Amen.
Rita Bonnat
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Catégories: Méditations, Non classé | 10/01/2019
[:fr]
« Maître, disent-ils à Jésus, ils n’ont plus … »
L’un des disciples, André, frère de Simon Pierre, lui dit : Il y a ici un jeune homme qui a cinq pains d’orge et deux poissons. « Il s’élève déjà davantage dans sa foi, dit S. Jean Chrysostôme : il se rappelle peut-être le miracle par lequel Elisée avait nourri cent hommes avec vingt pains d’orge.
Et cependant sa foi n’arrive pas à toute la hauteur qu’elle devrait avoir : elle demeure encore trop faible, c’est pourquoi il ajoute : Qu’est cela pour une si grande multitude ? »
Philippe ne dit-il pas : « Quand on achèterait du pain pour deux cents deniers, cela ne suffirait pas pour que chacun en eût un morceau. La chose est impossible!
Jésus est comme provoqué par ses disciples à faire un miracle pour cette foule ! « Donnez-leur vous-mêmes à manger » leur dit-il !
Mais tout ne dépend pas que de Dieu. La confiance dans la Providence n’empêche pas que Dieu attend quelque chose de nous. Nous pouvons être la providence les uns/unes des autres.
[:]
Catégories: Méditations | 8/01/2019
[:fr]
« Je me ravis, ô Jésus,
lui dirons-nous avec le cardinal de Bérulle,
en vous voyant en cette enfance,
en cette étable et en cette pauvreté,
mais je me réjouis en voyant
les sages, les rois et les trésors à vos pieds,
c’est-à-dire la sagesse, la grandeur et l’opulence de la terre,
rendre hommage à la sagesse éternelle
cachée dans votre enfance,
à votre impuissance et à votre pauvreté…”
[:]
Catégories: Lu ailleurs, Méditations | 6/01/2019
[:fr]
A quelle hauteur de vertu il était arrivé pour qu’on put le croire le Christ, le croire la lumière ! Le témoignage qu’il rendra à la lumière en aura plus de poids. Dieu avait dit de lui par David : J’ai préparé une lumière à mon Christ. Et il grandira en rendant ce témoignage à la lumière.”
Jean-Baptiste fut grand parce qu’il puisa toute lumière qui fut en lui à la source de la lumière,et qu’il la ramena à celle source par le témoignage qu’il lui rendit… Tous, si nous voulons, nous pourrons avoir quelque chose de cette grandeur. Comprenons que la source delà lumière n’est pas en nous, mais au-dessus de nous ; qu’il ne faut pas chercher la lumière dans nos pensées personnelles, mais dans le Verbe de Dieu. (Père Thiriet – op – 1905)
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Catégories: Méditations | 2/01/2019
[:en]« Et cette nouveauté qui étonnait Jérémic, le Prophète Isaïe Ta éclairée de lumières nouvelles et éclatantes. Voici qu’une vierge concevra et enfantera un fils. Voulez-vous savoir ce qu’est Isl** cet homme annoncé par Jérémic ? // sera appelé Emmanuel, c’est-à-dire Dieu avec nous. Cette femme devenant mère d’un homme, c’est la Vierge devenant Mère de Dieu. Vous voyez que les Prophètes annonçant en divers temps, par divers signes, en diverses manières, celte merveille incomparable, sont guidés par ib. n. ii. mi seul et même esprit. » [:es]« Et cette nouveauté qui étonnait Jérémic, le Prophète Isaïe Ta éclairée de lumières nouvelles et éclatantes. Voici qu’une vierge concevra et enfantera un fils. Voulez-vous savoir ce qu’est Isl** cet homme annoncé par Jérémic ? // sera appelé Emmanuel, c’est-à-dire Dieu avec nous. Cette femme devenant mère d’un homme, c’est la Vierge devenant Mère de Dieu. Vous voyez que les Prophètes annonçant en divers temps, par divers signes, en diverses manières, celte merveille incomparable, sont guidés par ib. n. ii. mi seul et même esprit. » [:fr]
« Et cette nouveauté qui étonnait Jérémie, le Prophète Isaïe l’a éclairée de lumières nouvelles et éclatantes. Voici qu’une vierge concevra et enfantera un fils.
Voulez-vous savoir ce qu’est cet homme annoncé par Jérémie ? Il sera appelé Emmanuel, c’est-à-dire Dieu avec nous. Cette femme devenant mère d’un homme, c’est la Vierge devenant Mère de Dieu.
Vous voyez que les Prophètes annonçant en divers temps, par divers signes, en diverses manières, cette merveille incomparable, sont guidés par un seul et même esprit. »
St Bernard
[:]
Catégories: Lu ailleurs, Méditations | 1/01/2019
[:fr]
Les bergers se hâtèrent à Bethléem
et ils découvrirent Marie et Joseph avec le nouveau-né.:
Le temple était glorieux, dit S. Ephrem,
il était la gloire des rois de Juda :
mais la grotte dans laquelle vous êtes né,
ô Fils de Dieu,
est devenue bien plus glorieuse ;
sous vos langes,
les bergers ont contemplé
un rayon de votre gloire. »
[:]
Catégories: Méditations | 1/01/2019
[:en]
O Nazareth,
dit un auteur moderne,
Nazareth,
séjour mille et mille fois béni
qui semble une nuit au sens humain,
mais qui brille pour la foi
et surtout pour l’amour,
comme un jour plus radieux
que celui qui naît du soleil,
printemps de la vie de Jésus,
temps de sa paix, qui dira tous tes charmes ?
Mieux vaut demeurer en toi, Nazareth,
fut-ce un jour ou une heure,
que de rentrer pour y demeurer toujours au paradis terrestre…
Rien ne ressemble comme toi à un tabernacle.
Tu es un jardin, ô ville des fleurs,
le jardin de l’époux du Cantique.
Tu es une retraite, un foyer, un festin :
tu donnes à savourer la manne cachée de l’Eglise. »
[:es]O Nazareth, dit un auteur moderne, Nazareth, séjour mille et mille fois béni qui semble une nuit au sens humain, mais qui brille pour la foi et surtout pour l’amour, comme un jour plus radieux que celui qui naît du soleil, printemps de la vie de Jésus, temps de sa paix, qui dira tous tes charmes ?
Mieux vaut demeurer en toi, Nazareth, fut-ce un jour ou une heure, que de rentrer pour y demeurer toujours au paradis terrestre… Rien ne ressemble comme toi à un tabernacle. Tu es un jardin, ô ville des fleurs, le jardin de l’époux du Cantique. Tu es une retraite, un foyer, un festin : tu donnes à savourer la manne cachée de l’Eglise. »
[:fr]
O Nazareth, dit un auteur moderne,
Nazareth, séjour mille et mille fois béni
qui semble une nuit au sens humain,
mais qui brille pour la foi
et surtout pour l’amour,
comme un jour plus radieux
que celui qui naît du soleil,
printemps de la vie de Jésus,
temps de sa paix,
qui dira tous tes charmes ?
Mieux vaut demeurer en toi, Nazareth,
fut-ce un jour ou une heure,
que de rentrer pour y demeurer toujours
au paradis terrestre.
Rien ne ressemble comme toi à un tabernacle.
Tu es un jardin, ô ville des fleurs,
le jardin de l’époux du Cantique.
Tu es une retraite, un foyer, un festin :
tu donnes à savourer
la manne cachée de l’Eglise.
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Catégories: Méditations | 30/12/2018
[:en]Aujourd’hui nous est né un Sauveur: II est le Messie, le Seigneur: le plus beau cadeau de Marie. Oh Marie, Sainte Mère de Dieu, vous qui avez mis au monde celui que chaque année nousAujourd’hui nous est né un Sauveur: II est le Messie, le Seigneur: le plus beau cadeau de Marie. Oh Marie, Sainte Mère de Dieu, vous qui avez mis au monde celui que chaque année nous attendons: cet enfant nouveau-né, qui nous a été révélé par les bergers, les plus petits, ceux qui se laissent plus facilement touchés par ce qui vient de Dieu.
A l’heure où les progrès de la science et de la technique offrent aux hommes tant de moyens de se rencontrer, de s’aimer, beaucoup hélas ignorent encore qui est cet enfant Jésus de la crèche, notre Sauveur.
II vient à nous avec humilité, lui le Seigneur de l’Univers, le Verbe de Dieu. II se fait chair, fragile et vulnérable pour s’abaisser à nous.
Quelle audacieuse confiance!
Alors que nos regards fixent ce petit dans la crèche, sa parole nous bouscule. Pourtant C’est ce même petit enfant qui, plus tard, entrera en contradiction avec notre optique, afin d’accomplir l’Ecriture autrement qu’à notre échelle humaine.
Mais qui sommes-nous pour que le Fils de Dieu, le Tout Amour s’incarne pour nous libérer de nos péchés, nos peurs désarmantes afin de faire jaillir «L’ AMOUR ».
attendons: cet enfant nouveau-né, qui nous a été révélé par les bergers, les plus petits, ceux qui se laissent plus facilement touchés par ce qui vient de Dieu.
A l’heure où les progrès de la science et de la technique offrent aux hommes tant de moyens de se rencontrer, de s’aimer, beaucoup hélas ignorent encore qui est cet enfant Jésus de la crèche, notre Sauveur.
II vient à nous avec humilité, lui le Seigneur de l’Univers, le Verbe de Dieu. II se fait chair, fragile et vulnérable pour s’abaisser à nous.
Quelle audacieuse confiance!
Alors que nos regards fixent ce petit dans la crèche, sa parole nous bouscule. Pourtant C’est ce même petit enfant qui, plus tard, entrera en contradiction avec notre optique, afin d’accomplir l’Ecriture autrement qu’à notre échelle humaine.
Mais qui sommes-nous pour que le Fils de Dieu, le Tout Amour s’incarne pour nous libérer de nos péchés, nos peurs désarmantes afin de faire jaillir «L’ AMOUR ».
[:es]Aujourd’hui nous est né un Sauveur: II est le Messie, le Seigneur: le plus beau cadeau de Marie. Oh Marie, Sainte Mère de Dieu, vous qui avez mis au monde celui que chaque année nousAujourd’hui nous est né un Sauveur: II est le Messie, le Seigneur: le plus beau cadeau de Marie. Oh Marie, Sainte Mère de Dieu, vous qui avez mis au monde celui que chaque année nous attendons: cet enfant nouveau-né, qui nous a été révélé par les bergers, les plus petits, ceux qui se laissent plus facilement touchés par ce qui vient de Dieu.
A l’heure où les progrès de la science et de la technique offrent aux hommes tant de moyens de se rencontrer, de s’aimer, beaucoup hélas ignorent encore qui est cet enfant Jésus de la crèche, notre Sauveur.
II vient à nous avec humilité, lui le Seigneur de l’Univers, le Verbe de Dieu. II se fait chair, fragile et vulnérable pour s’abaisser à nous.
Quelle audacieuse confiance!
Alors que nos regards fixent ce petit dans la crèche, sa parole nous bouscule. Pourtant C’est ce même petit enfant qui, plus tard, entrera en contradiction avec notre optique, afin d’accomplir l’Ecriture autrement qu’à notre échelle humaine.
Mais qui sommes-nous pour que le Fils de Dieu, le Tout Amour s’incarne pour nous libérer de nos péchés, nos peurs désarmantes afin de faire jaillir «L’ AMOUR ».
attendons: cet enfant nouveau-né, qui nous a été révélé par les bergers, les plus petits, ceux qui se laissent plus facilement touchés par ce qui vient de Dieu.
A l’heure où les progrès de la science et de la technique offrent aux hommes tant de moyens de se rencontrer, de s’aimer, beaucoup hélas ignorent encore qui est cet enfant Jésus de la crèche, notre Sauveur.
II vient à nous avec humilité, lui le Seigneur de l’Univers, le Verbe de Dieu. II se fait chair, fragile et vulnérable pour s’abaisser à nous.
Quelle audacieuse confiance!
Alors que nos regards fixent ce petit dans la crèche, sa parole nous bouscule. Pourtant C’est ce même petit enfant qui, plus tard, entrera en contradiction avec notre optique, afin d’accomplir l’Ecriture autrement qu’à notre échelle humaine.
Mais qui sommes-nous pour que le Fils de Dieu, le Tout Amour s’incarne pour nous libérer de nos péchés, nos peurs désarmantes afin de faire jaillir «L’ AMOUR ».
[:fr]
Aujourd’hui nous est né un Sauveur:
II est le Messie, le Seigneur: le plus beau cadeau de Marie.
Oh Marie, Sainte Mère de Dieu,
vous qui avez mis au monde celui que chaque année nous attendons:
cet enfant nouveau-né, qui nous a été révélé
par les bergers, les plus petits,
ceux qui se laissent plus facilement touchés
par ce qui vient de Dieu.
A l’heure où les progrès de la science et de la technique offrent
aux hommes tant de moyens de se rencontrer, de s’aimer,
beaucoup hélas ignorent encore qui est
cet enfant Jésus de la crèche, notre Sauveur.
II vient à nous avec humilité,
lui le Seigneur de l’Univers, le Verbe de Dieu.
II se fait chair, fragile et vulnérable pour s’abaisser à nous.
Quelle audacieuse confiance!
Alors que nos regards fixent ce petit dans la crèche,
sa parole nous bouscule.
Pourtant c’est ce même petit enfant qui, plus tard,
entrera en contradiction avec notre optique,
afin d’accomplir l’Ecriture autrement qu’à notre échelle humaine.
Mais qui sommes-nous pour que le Fils de Dieu, le Tout Amour
s’incarne pour nous libérer de nos péchés, nos peurs désarmantes
afin de faire jaillir «L’ AMOUR ».
Geneviève Simonnet
[:]
Catégories: Méditations | 25/12/2018
[:fr]
« Les prophètes l’annoncent avant qu’il naisse,
et les Anges quand il est né.
Il est couché dans une crèche,
mais il tient le monde dans sa main ;
il est un enfant sans voix
et il est le Verbe de Dieu ;
le sein d’une vierge enfermait celui
que les cieux ne peuvent contenir ;
la Vierge portait celui qui nous porte,
elle allaitait celui qui nous nourrit,
elle conduisait celui qui nous régit.
O faiblesse éclatante, ô humilité admirable dans laquelle s’est cachée la divinité ! La mère à laquelle il obéissait, il la gouvernait par sa puissance ; celle dont il suçait le lait, il la nourrissait de la vérité. » « Il est enveloppé de langes, mais il nous revêt d’immortalité; il est allaité et il est adoré ; il ne trouve pas de place à l’hôtellerie, mais il se construit un temple dans le cœur de ses fidèles. Pour fortifier la faiblesse, la force s’est revêtue de faiblesse. (St Augustin)
[:]
Catégories: Méditations | 25/12/2018
[:en]« Quand on est plein de Jésus, dit Bossuet, on l’est en même temps de charité, d’une sainte vivacité, de grands sentiments ; et l’exécution ne souffre rien de languissant. »[:es]« Quand on est plein de Jésus, dit Bossuet, on l’est en même temps de charité, d’une sainte vivacité, de grands sentiments ; et l’exécution ne souffre rien de languissant. »[:fr]
“La grâce de la venue de Marie et de la présence de Jésus, se fait sentir. Elle entra dans la maison de Zacharie et elle salua Elisabeth. Elle avait, été saluée par l’Ange, et elle salue à son tour Elisabeth. Jésus lui-même, après sa résurrection, saluera les saintes Femmes qui viennent à son tombeau. La charité aime à se traduire en bonnes paroles, en actes de prévenance. Combien est pauvre une charité qui répugne à ces paroles et à ces actes ! Quelle sincérité, quelle suavité et quelle bonté il y eut dans la salutation de Marie !
Puissions-nous mériter d’être salués par elle ! Que lui dit-elle ? Elle lui adressa sans doute la salutation si religieuse des Orientaux : Que la paix, ou la grâce du Seigneur, ou le Seigneur soit avec vous! Et comme les paroles du prêtre administrant un sacrement, ces paroles produisirent un effet immédiat. « La voix de la Vierge était la voix même du Dieu qui était incarné en elle, et c’est pourquoi la grâce descend jusqu’au fils d’Elisabeth et en fait un Prophète. Tout ce qu’Elisabeth dit prophétiquement à Marie lui est inspiré par son enfant, comme les paroles de Marie lui sont inspirées par le Fils de Dieu vivant en elle. » Aussitôt qu’’Elisabeth entendit la salutation de Marie, son enfant tressaillit dans son sein, et elle lut remplie de l’Esprit Saint. ” (Ambroise)
« Quand on est plein de Jésus,
on l’est en même temps de charité,
d’une sainte vivacité, de grands sentiments ;
et l’exécution ne souffre rien de languissant. »
(Bossuet
[:]
Catégories: Méditations | 23/12/2018