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En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas – disait St Paul – que vous êtes le temple de Dieu.
Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
De A.GRÜN
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique.
Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste.
Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ….”
[:es]
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel. (P.Thiriet -op)
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer aux autres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaos intérieur. (A.Grün)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas, disait St Paul, que vous êtes le temple de Dieu. Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié.
Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique. Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste. Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ.
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas – disait St Paul – que vous êtes le temple de Dieu.
Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre(P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
De A.GRÜN
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique.
Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste.
Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ….”
[:fr]
“En face de Jésus-Christ se proclamant le vrai temple de Dieu, nous devons nous souvenir qu’il a fait aussi de nous des temples. Ne savez-vous pas – disait St Paul – que vous êtes le temple de Dieu.
Nous faisons partie intégrante de ce temple qui est lui-même. Vous vous êtes rapprochés de lui disait St Pierre, de lui qui est la pierre vivante, pierres vivantes vous-mêmes, et sur cette pierre fondamentale vous avez été élevés en un édifice spirituel… Nous le profanons en le laissant envahir par les choses de la terre” (P.Thiriet -op)
“Nous le profanons en y laissant pénétrer les boeufs qui ne savent que retourner la terre, les brebis, symboles de stupidité, les colombes, emblêmes de la légèreté, et l’argent qui représente tous les biens de la terre.” ( Origène)
“Dieu ne veut pas que son temple soit un rendez-vous de marchands, mais la maison de la sainteté.” (St Ambroise)
De A.GRÜN
“Par la mort de Jésus, c’est le temple du corps humain qui est purifié. Ce corps s’était dégradé, devenu un marché rempli du vacarme des marchands et voué au commerce du bétail. Ce sont là des images: bien souvent nous sommes sous l’empire du bruit de nos pensées, de la question de notre valeur sur le marché de la vie publique.
Il y a en nous des bestiaux, images de la vitalité et de la sexualité qui nous dominent ; des moutons, figures de l’esclavage où nous vivons. Il y a aussi des colombes, telles des pensées dont le vol agité ne nous laisse jamais en repos. Tout cela, Jésus le chasse hors du Temple.
Jean renvoie à la mort de Jésus et à sa résurrection : elles accompliront ce que Jésus préfigure dans ce « signe ». Par son amour, notre corps est rétabli dans son état originel et nous redevenons vraiment les temples de Dieu ; par sa mort, Jésus nous purifie de tout ce qui s’était installé en nous: la faute, l’animalité, l’avidité, la manie de nous comparer auxautres. Cette mort, dans laquelle l’amour divin rayonne et pénètre nos corps, nous libère de tout ce chaosintérieur.
Être un marché ou un temple de Dieu: telle est l’alternative.
Les deux images renvoient à deux expériences que l’homme peut faire de lui-même. Celle du marché évoque le bruit et les vains efforts pour maîtriser notre chaos intérieur; sa halle est un espace resserré où toutes choses sont emprisonnées. Image des êtres crispés sur eux-mêmes pour éviter d’être déchirés par leur désordre intérieur. Le Temple de Dieu, lui, est vaste.
Quand je médite sur moi-même, pensant à l’image du Temple, j’éprouve ma dignité, ma beauté; je sais que Dieu réside en moi et que sa gloire rayonne de mon corps. Jésus désire nous faire accéder à cette autre expérience de notre condition d’hommes, par son incarnation donnant à notre vie la saveur du vin, et par sa mort nous purifiant de tout ce qui nous souillait. De même qu’en Jésus est apparu le véritable temple de Dieu, sa résurrection fait de quiconque croit en lui un temple où demeure la gloire de Dieu.
L’histoire de la purification du Temple est une image qui guérit; quand je l’accueille en moi, j’expérimente le salut venu par Jésus Christ…”
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Catégories: Méditations | 4/03/2018