Dans ces trois pains, St Augustin voit le mystère de la Sainte Trinité, le grand mystère qui nous fait chrétiens.
“Quand vous serez arrivé à cette connaissance, à cette nourriture, vous ne devez plus craindre d’accueillir vos amis: vous avez de quoi vous nourrir et les nourrir eux aussi. Ce pain ne sera jamais épuisé: avec ce pain vous ne serez jamais dans l’indigence: c’est du pain et encore du pain, et toujours du pain; c’est Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit; Dieu créateur, Père, Fils et Saint Esprit; Dieu pasteur et source de vie. Père, Fils et Saint Esprit; Dieu aliment et pain éternel, Père, Fils et Saint Esprit.
Apprenez cela pour vous et enseignez-le; nourrissez-vous et nourrissez les autres. Dieu qui veut vous donner, ne trouve à vous donner rien de meilleur que lui-même. Bien avare seriez-vous si Dieu ne vous suffisait pas.” (St Augustin)
Il est nécessaire de demander avec persévérance la lumière et la nourriture de l’âme pour ceux qui comptent sur notre prière. Et s’il s’agit-il de nous-mêmes, notre prière doit avoir la même ardeur!
“Allons crier à la porte de notre ami
afin qu’il nous donne les trois pains nécessaires
pour apaiser la faim du voyageur”
(St Augustin)
“St Paul demandait que la porte lui fut ouverte pour annoncer le mystère du Christ (Col 4 : 3), et St Jean vit une porte qui s’ouvrait dans le ciel (Ap 4,1). La porte fut ouverte à Paul et à Jean, et ils ont reçu les pains qu’ils nous ont apporté.” (St Ambroise)
Comme eux, frappons à la porte pour recevoir les trois pains!
Catégories: Méditations | 25/07/2010
Mon Dieu,
je vous aime de tout mon cœur et par-dessus toutes choses,
parce que vous êtes infiniment bon,
et j’aime mon prochain comme moi-même pour l’amour de vous. (Acte de charité)
Catégories: Prières | 25/07/2010
Ô Dieu notre Père,
nous voyons ton oeuvre dans les prophètes, les mystiques et les saints
et plus que tout, en Jésus, ton fils Unique et Bien-aimé!
nous te louons et nous te bénissons!
Catégories: Prières | 23/07/2010
Donne-nous, Seigneur, un coeur nouveau,
mets en nous , Seigneur, un esprit nouveau!
Catégories: Prières | 21/07/2010
L’amandier est le premier des arbres fruitiers à fleurir en Israël. Ses fleurs apparaissent entre fin décembre et début février, c’est à dire durant la saison des pluies. La rapidité avec laquelle l’amandier sort de sa torpeur hivernale est étonnante. Son nom en hébreu est Shaked dont la racine signifie : vigilance.
L’amandier symbolise l’attitude de Dieu qui veille attentivement sur son peuple. C’est pourquoi la Menorah, veilleuse du Temple, était formée de coupes en forme d’amande dont la signification symbolique est celle de la surveillance, de la providence qui préside au sort des récoltes.
Nous pouvons comprendre les verts du livre de Jérémie : « La parole de l’Eternel me fut adressée en ces termes : “Que vois-tu, Jérémie ?” Je répondis : “Je vois un rameau d’amandier [shaked] Tu as bien vu, me dit l’Eternel, car je veille [shoked] à l’accomplissement de ma parole » (Jér 1,11-12)
La ménorah est l’image de ce que doit être l’être humain: debout, éveillé en toute sa lumière potentielle: “que vos oeuvres bonnes brillent aux yeux des hommes” (Matthieu 5, 16).
“La lampe de YHWH, c’est l’âme de l’homme” (Proverbes 20, 27) : l’être humain est comme une lampe et il faut veiller à ce que cette lampe soit constamment allumée. Elle est le signe de notre attente de la venue du Seigneur (Mt 25,1-13), de notre fidélité à sa Parole:
“Veillez et priez dans l’attente du jour,
Veillez et priez au secret de l´amour“
L’amandier est le premier des arbres fruitiers à fleurir en Israël. Ses fleurs apparaissent entre fin décembre et début février, c’est à dire durant la saison des pluies. La rapidité avec laquelle l’amandier sort de sa torpeur hivernale est étonnante. Son nom en hébreu est Shaked dont la racine signifie : vigilance.
L’amandier symbolise l’attitude de Dieu qui veille attentivement sur son peuple. C’est pourquoi la Menorah, veilleuse du Temple, était formée de coupes en forme d’amande dont la signification symbolique est celle de la surveillance, de la providence qui préside au sort des récoltes.
Nous pouvons comprendre les verts du livre de Jérémie : « La parole de l’Eternel me fut adressée en ces termes : “Que vois-tu, Jérémie ?” Je répondis : “Je vois un rameau d’amandier [shaked] Tu as bien vu, me dit l’Eternel, car je veille [shoked] à l’accomplissement de ma parole » (Jér 1,11-12)
La ménorah est l’image de ce que doit être l’être humain: debout, éveillé en toute sa lumière potentielle: “que vos oeuvres bonnes brillent aux yeux des hommes” (Matthieu 5, 16).
“La lampe de YHWH, c’est l’âme de l’homme” (Proverbes 20, 27) : l’être humain est comme une lampe et il faut veiller à ce que cette lampe soit constamment allumée. Elle est le signe de notre attente de la venue du Seigneur (Mt 25,1-13), de notre fidélité à sa Parole:
“Veillez et priez dans l’attente du jour,
Veillez et priez au secret de l´amour“
L’amandier est le premier des arbres fruitiers à fleurir en Israël. Ses fleurs apparaissent entre fin décembre et début février, c’est à dire durant la saison des pluies. La rapidité avec laquelle l’amandier sort de sa torpeur hivernale est étonnante. Son nom en hébreu est Shaked dont la racine signifie : vigilance.
Nous pouvons comprendre ce que dit Jérémie : « La parole de l’Eternel me fut adressée en ces termes : “Que vois-tu, Jérémie ?” Je répondis : “Je vois un rameau d’amandier [shaked]. Tu as bien vu, me dit l’Eternel, car je veille [shoked] à l’accomplissement de ma parole » (Jr 1,11-12)
L’amandier symbolise l’attitude de Dieu qui veille attentivement sur son peuple. C’est pourquoi la Menorah, veilleuse du Temple, était formée de coupes en forme d’amande dont la signification symbolique est celle de la Providence qui préside au sort des récoltes.
La ménorah est l’image de ce que doit être l’être humain: debout, éveillé en toute sa lumière potentielle: “que vos oeuvres bonnes brillent aux yeux des hommes” (Matthieu 5, 16).
“La lampe de YHWH, c’est l’âme de l’homme” (Proverbes 20, 27) : l’être humain est comme une lampe et il faut veiller à ce que cette lampe soit constamment allumée. Elle est le signe de notre attente de la venue du Seigneur (Mt 25,1-13), de notre fidélité à sa Parole:
“Veillez et priez dans l’attente du jour,
Veillez et priez au secret de l´amour”
Catégories: Le jardin de la Bible | 21/07/2010
“Nous accueillons les soeurs que Dieu nous donne ; différentes et complémentaires, nous construisons l’unité de la communauté, chacune contribuant ainsi au bien commun. (Art 195)
On dit de St Antoine, le Père du monachisme, qu’au début de son chemin monastique… il se soumettait volontiers aux ascètes qu’il allait voir, et il s’instruisait auprès d’eux de la vertu et ascèse propre à chacun. Il contemplait dans l’un l’amabilité, dans l’autre l’assiduité à la prière; chez celui-ci il voyait la patience, chez celui-là la charité envers le prochain; de l’un il remarquait les veilles, de l’autre l’assiduité à la lecture; il admirait l’un pour sa constance, l’autre pour ces jeûnes et son repos sur la terre nue. Il observait la douceur de l’un et la grandeur d’âme de l’autre; chez tous il remarquait à la fois la dévotion au Christ et l’amour mutuel ” (Vie de saint Antoine, 4).
La communauté est un champ de fleurs. St Antoine nous invite chacune à agir comme la diligente abeille ” qui va se poser sur toutes les plantes et tirer de chacune le meilleur ” (Isocrate). Il est vital de croire dans le meilleur de l’autre, de savoir reconnaître ses qualités humaines et spirituelles pour vivre et accomplir l’oeuvre de Dieu. Avoir, envers toutes et chacune de nos soeurs une confiance vive, étonnée, vigilante.
Notre vie contemplative est un ministère d’amour, un regard de bonté et d’admiration, de tendresse et de paix sur le monde et sur chaque personne. C’est par le cœur que nous pouvons être reliées à Dieu, à tout l’univers, à tout le créé; que nous pouvons nous accueillir mutuellement dans la simplicité, la confiance; recevoir notre propre vérité et celle de l’autre sans nous sentir menacées.
“Sois comme la fleur, épanouis-toi librement
et laisse les abeilles dévaliser ton coeur !”
(Ramakrishna)
Catégories: Notre chemin de vie contemplative | 20/07/2010
Le Secteur Pastoral des Graves: Samedi 7 août: à la Solitude – Martillac
Rencontre et échanges avec Gabriel RINGLE, prêtre, professeur d’université, journaliste, écrivain… Gabriel Ringlet est un homme de la parole et du verbe. Au cœur de l’Eglise et aux frontières des mondes, soucieux de dialogue avec la société, les médias , l’art, ce passionné conjugue Evangile et actualité. » (Panorama)
“Les grands défis du christianisme à l’aube du 3ème millénaire“
ou bien
“Illuminer la pesanteur: faire de la blessure, une grâce“
Programme:
16h – 18h rencontre avec G. Ringlet –
18h30 Eucharistie
19h30 – 21h pique-nique et échanges avec G. Ringlet
Catégories: Infos Solitude | 19/07/2010
Marthe, Marthe… cette répétition du nom est un signe d’affection, dit St Augustin ou encore une invitation à être attentive, la parole qu’il va dire étant très importante…:
“une seule chose est nécessaire.
Marie a choisi la meilleure part
et elle ne lui sera pas enlevée”
Le Sauveur ne dit pas que l’oeuvre de Marthe est mauvaise. Il dit que celle de Marie est meilleure. Pourquoi est-elle meilleure?
Marie, assise aux pieds du maître, dans la même attitude que Paul aux pieds du grand rabbi Gamaliel (Ac 22, 3), écoute la parole de Jésus: “Au lieu de se répandre et de se scinder dans la multiplicité, elle se recueille dans l’unité qui est le principe de toute perfection“ (St Augustin).
C’est en demeurant près du Seigneur, à l’écoute de sa Parole, que notre coeur, nos pensées, nos forces intérieures d’attention s’unifient et que se développe en nous le désir d’aimer et d’agir comme Jésus.
Heureuse est Marie de savoir écouter Dieu.
Heureuse est Marthe de pouvoir servir Jésus-Christ.
Marthe, Marthe… cette répétition du nom est un signe d’affection, dit St Augustin ou encore une invitation à être attentive, la parole qu’il va dire étant très importante…:
“une seule chose est nécessaire.
Marie a choisi la meilleure part
et elle ne lui sera pas enlevée”
Le Sauveur ne dit pas que l’oeuvre de Marthe est mauvaise. Il dit que celle de Marie est meilleure. Pourquoi est-elle meilleure?
Marie, assise aux pieds du maître, dans la même attitude que Paul aux pieds du grand rabbi Gamaliel (Ac 22, 3), écoute la parole de Jésus: “Au lieu de se répandre et de se scinder dans la multiplicité, elle se recueille dans l’unité qui est le principe de toute perfection“ (St Augustin).
C’est en demeurant près du Seigneur, à l’écoute de sa Parole, que notre coeur, nos pensées, nos forces intérieures d’attention s’unifient et que se développe en nous le désir d’aimer et d’agir comme Jésus.
Heureuse est Marie de savoir écouter Dieu.
Heureuse est Marthe de pouvoir servir Jésus-Christ.
Selon les commentaires de Tora Temima, le redoublement des noms comme “Abraham! Abraham!” (Gn 22,11)… “Moïse Moïse! ” (Ex 3,4) est une expression d’amour et d’incitation au zèle.
“Marthe, Marthe…”
De même, pour St Augustin, la répétition par Jésus de son nom est, pour Marthe, un signe d’affection du Seigneur ou encore une invitation à être attentive: la parole qu’il va dire étant très importante…:
“une seule chose est nécessaire.
Marie a choisi la meilleure part
et elle ne lui sera pas enlevée”
Le Sauveur ne dit pas à Marthe que son oeuvre est mauvaise. Il lui dit que celle de Marie est meilleure. Mais pourquoi est-elle meilleure?
Marie, assise aux pieds du maître, dans la même attitude que Paul aux pieds du grand rabbi Gamaliel (Ac 22, 3), écoute la parole de Jésus: “Au lieu de se répandre et de se scinder dans la multiplicité, elle se recueille dans l’unité qui est le principe de toute perfection.” (St Augustin).
C’est en demeurant près du Seigneur, à l’écoute de sa Parole, que notre coeur, nos pensées, nos forces intérieures d’attention s’unifient et que se développe, en nous, le désir d’aimer et d’agir comme Jésus.
Heureuse est Marie de savoir écouter Dieu.
Heureuse est Marthe de pouvoir servir Jésus-Christ.
Catégories: Méditations | 18/07/2010
Seigneur,
que la prière maternelle
de la Vierge Marie
vienne à notre aide!
Catégories: Prières | 16/07/2010
Le figuier est l’image de l’ancien Israël. Il symbolise la paix, la prospérité, l’abondance. Il est le premier arbre mentionné par la Bible Gn 3.7 qui en reparlera 57 fois.
Le figuier, qui rassemble sur ses branches des figues embryonnaires et mûres est souvent pris comme figure de comparaison dans les évocations des ennemis d’Israël : « Elles seront foulées aux pieds, l’orgueilleuse couronne des ivrognes d’Ephraïm et la fleur fanée de sa superbe splendeur sise au sommet de la grasse vallée. C’est comme une figue mûre avant l’été : qui l’aperçoit aussitôt la saisit et l’avale » (Is 28,3-4)
L’image du figuier est liée au péché et à sa punition : « Je vous ai frappés par la rouille et la nielle, j’ai desséché vos jardins et vos vignes ; vos figuiers et vos oliviers, la sauterelle les a dévorés ; et vous n’êtes par revenus à moi ! Oracle de YHWH » (Amos 4 ;9)vant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais.
La figue: Son nom apparaît des dizaines de fois dans la Bible. Les prophètes la désigne comme un symbole de paix et de prospérité. C’est le tout premier des fruits à être mentionné dans le pentateuque.
La littérature rabbinique signale que sous le figuier on trouve un lieu ombragé, discret, propice à l’étude de la Torah. “Etre sous le figuier” c’est étudier les Ecritures. Jésus dira à Nathanaël: ” avant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais.” Sous le figuier, Nathanaël scrutait la Torah pour y découvrir celui “duquel Moïse a écrit dans la loi et duquel les prophètes ont écrit“.
Demeurer sous le figuier de Nathanaël, c’est vivre la lecture assidue de l’Ecriture Sainte pour entendre la voix du Seigneur Jésus qui nous appelle à marcher à sa Suite.
Le figuier est l’image de l’ancien Israël. Il symbolise la paix, la prospérité, l’abondance. Il est le premier arbre mentionné par la Bible Gn 3.7 qui en reparlera 57 fois.
Le figuier, qui rassemble sur ses branches des figues embryonnaires et mûres est souvent pris comme figure de comparaison dans les évocations des ennemis d’Israël : « Elles seront foulées aux pieds, l’orgueilleuse couronne des ivrognes d’Ephraïm et la fleur fanée de sa superbe splendeur sise au sommet de la grasse vallée. C’est comme une figue mûre avant l’été : qui l’aperçoit aussitôt la saisit et l’avale » (Is 28,3-4)
L’image du figuier est liée au péché et à sa punition : « Je vous ai frappés par la rouille et la nielle, j’ai desséché vos jardins et vos vignes ; vos figuiers et vos oliviers, la sauterelle les a dévorés ; et vous n’êtes par revenus à moi ! Oracle de YHWH » (Amos 4 ;9)vant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais.
La figue: Son nom apparaît des dizaines de fois dans la Bible. Les prophètes la désigne comme un symbole de paix et de prospérité. C’est le tout premier des fruits à être mentionné dans le pentateuque.
La littérature rabbinique signale que sous le figuier on trouve un lieu ombragé, discret, propice à l’étude de la Torah. “Etre sous le figuier” c’est étudier les Ecritures. Jésus dira à Nathanaël: ” avant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais.” Sous le figuier, Nathanaël scrutait la Torah pour y découvrir celui “duquel Moïse a écrit dans la loi et duquel les prophètes ont écrit“.
Demeurer sous le figuier de Nathanaël, c’est vivre la lecture assidue de l’Ecriture Sainte pour entendre la voix du Seigneur Jésus qui nous appelle à marcher à sa Suite.
Le figuier est l’image de l’ancien Israël. Il symbolise la paix, la prospérité, l’abondance. Il est le premier arbre mentionné par la Bible (Gn 3.7) qui en reparlera 57 fois.
Le figuier, qui rassemble sur ses branches des figues embryonnaires et mûres est souvent pris comme figure de comparaison dans les évocations des ennemis d’Israël : « Elles seront foulées aux pieds, l’orgueilleuse couronne des ivrognes d’Ephraïm et la fleur fanée de sa superbe splendeur sise au sommet de la grasse vallée. C’est comme une figue mûre avant l’été : qui l’aperçoit aussitôt la saisit et l’avale » (Is 28,3-4)
L’image du figuier est liée au péché et à sa punition : «Je vous ai frappés par la rouille et la nielle, j’ai desséché vos jardins et vos vignes ; vos figuiers et vos oliviers, la sauterelle les a dévorés ; et vous n’êtes par revenus à moi ! Oracle de YHWH» (Amos 4 ;9)
La figue: Son nom apparaît des dizaines de fois dans la Bible. Les prophètes la désigne comme un symbole de paix et de prospérité. C’est le tout premier des fruits à être mentionné dans le pentateuque.
La littérature rabbinique signale que sous le figuier on trouve un lieu ombragé, discret, propice à l’étude de la Torah. “Etre sous le figuier” c’est étudier les Ecritures. Jésus dira à Nathanaël: ” avant que Philippe t’eût appelé, quand tu étais sous le figuier, je te voyais.” Sous le figuier, Nathanaël scrutait la Torah pour y découvrir celui “duquel Moïse a écrit dans la loi et duquel les prophètes ont écrit.”
Demeurer sous le figuier de Nathanaël, c’est vivre la lecture assidue de l’Ecriture Sainte pour entendre la voix du Seigneur Jésus qui nous appelle à marcher à sa Suite.
Catégories: Le jardin de la Bible | 16/07/2010